Dans leur déclaration commune, ils se sont dits attristés par les folles journées des 19 et 20 septembre. Les chefs des confessions religieuses, hormis l'Eglise catholique, ont eux aussi parlé des pertes en vies humaines et des dégâts matériels considérables, avant de condamner ces actes. Et par la bouche de monseigneur Marini Bodo, représentant légal de l'Eglise du Christ au Congo, les chefs des confessions religieuses ont rappelé leur soutien au dialogue comme mode de résolution pacifique des différends à tous les niveaux.
« Ils encouragent les compatriotes, qui dialoguent à la cité de l'Union africaine, à continuer le travail pour parvenir à un consensus garantissant un environnement électoral apaisé, utile à notre pays », a-t-il déclaré.
Ceux qui ne sont pas au dialogue sont invités à apporter leur contribution. Injonction est ainsi faite à la CIME, Commission d'intégrité et de médiation électorale, pour prendre contact avec les acteurs politiques et leur offrir ses bons offices pour qu'ils se mettent autour d'une même table.
Source: Rfi.fr
« Ils encouragent les compatriotes, qui dialoguent à la cité de l'Union africaine, à continuer le travail pour parvenir à un consensus garantissant un environnement électoral apaisé, utile à notre pays », a-t-il déclaré.
Ceux qui ne sont pas au dialogue sont invités à apporter leur contribution. Injonction est ainsi faite à la CIME, Commission d'intégrité et de médiation électorale, pour prendre contact avec les acteurs politiques et leur offrir ses bons offices pour qu'ils se mettent autour d'une même table.
Source: Rfi.fr