Charles Mwando Simba, le président du G7, estime qu'il « fallait un calendrier qui détaille les différentes séquences jusqu'au mois de décembre ». Or dénonce ce responsable, « le président Kabila ne dit mot sur sa situation, comme, souligne-t-il, pour confirmer qu'il restera toujours en place ».
A l'UDPS, Etienne Tshisekedi, est ferme sur un point : il « exige la convocation du scrutin pour l'élection le 19 septembre conformément à l'article 73 de la Constitution », lit-on dans une déclaration transmise à la presse. Etienne Tshisekedi rejette, poursuit-il, toute « tentative de référendum pour modifier notre Constitution ».
L'opposant Moïse Katumbi, en exil à Bruxelles, dénonce aussi « le flou entretenu par ce discours». L'ancien gouverneur du Katanga, estime que le président avait « l'obligation de rassurer sur son départ le 19 décembre 2016». Moïse Katumbi décrit un contexte politique délétère, avec une « justice instrumentalisée». Candidat déclaré à la présidentielle, Katumbi affirme être victime de «harcèlement», en témoigne selon lui, la condamnation à trois ans de prison infligée par la justice dans «une affaire immobilière inventée de toutes pièces ».
Faux rétorque Lambert Mende, le porte-parole du gouvernement, qui déplore « une tentative pathétique de détourner l'attention». Dans un communiqué de presse, ce responsable assure que le président et les institutions font « respecter les lois » et « défendent l'ordre constitutionnel ».
Source: Rfi.fr
A l'UDPS, Etienne Tshisekedi, est ferme sur un point : il « exige la convocation du scrutin pour l'élection le 19 septembre conformément à l'article 73 de la Constitution », lit-on dans une déclaration transmise à la presse. Etienne Tshisekedi rejette, poursuit-il, toute « tentative de référendum pour modifier notre Constitution ».
L'opposant Moïse Katumbi, en exil à Bruxelles, dénonce aussi « le flou entretenu par ce discours». L'ancien gouverneur du Katanga, estime que le président avait « l'obligation de rassurer sur son départ le 19 décembre 2016». Moïse Katumbi décrit un contexte politique délétère, avec une « justice instrumentalisée». Candidat déclaré à la présidentielle, Katumbi affirme être victime de «harcèlement», en témoigne selon lui, la condamnation à trois ans de prison infligée par la justice dans «une affaire immobilière inventée de toutes pièces ».
Faux rétorque Lambert Mende, le porte-parole du gouvernement, qui déplore « une tentative pathétique de détourner l'attention». Dans un communiqué de presse, ce responsable assure que le président et les institutions font « respecter les lois » et « défendent l'ordre constitutionnel ».
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