Plus de mille mômes sont nés sans pater dans le Fouladou. Le mouvement «Touche pas à ma sœur» dédié à la défense de la gente féminine a publié ces chiffres dans son rapport annuel 2012-2017.
Selon le président de ce mouvement, Ismaëla kamby, «force est de reconnaître que le Fouladou constitue un bassin de rétention pour ces pauvres enfants, juste après la Casamance».
Pire, il a ajouté que : «pas mal d’enfants qui ont suivi le cursus normal n’ont pas pu se présenter à l’examen d’entrée en sixième parce que ne disposant pas d’acte de naissance». Il a dénoncé le fait que «des prédateurs faussaires en quête d’argent, n’hésitent pas à en faire un fonds de commerce tout en délivrant, comme du petit pain, à tout va, de faux bulletins et extraits pour des élèves qui se verront plus tard interdits de passer l’examen du baccalauréat par l’Office du Bac après vérifications sur les registres des extraits de naissances présentés par les candidats».
Selon le président de ce mouvement, Ismaëla kamby, «force est de reconnaître que le Fouladou constitue un bassin de rétention pour ces pauvres enfants, juste après la Casamance».
Pire, il a ajouté que : «pas mal d’enfants qui ont suivi le cursus normal n’ont pas pu se présenter à l’examen d’entrée en sixième parce que ne disposant pas d’acte de naissance». Il a dénoncé le fait que «des prédateurs faussaires en quête d’argent, n’hésitent pas à en faire un fonds de commerce tout en délivrant, comme du petit pain, à tout va, de faux bulletins et extraits pour des élèves qui se verront plus tard interdits de passer l’examen du baccalauréat par l’Office du Bac après vérifications sur les registres des extraits de naissances présentés par les candidats».