Tout d’abord, le Secrétariat Permanent de Yoonu Askan Wi tient à «s’incliner respectueusement devant la mémoire de Vieux Singh Faye, puis de Doudou Ndiaye Rose trésor humain reconnu et homme de culture accompli, tous deux récemment arrachés à notre affection. Cette douloureuse circonstance interpelle à nouveau les autorités sénégalaises, pour une plus grande considération à l’endroit de nos artistes en même temps qu’une meilleure prise en charge de leur statut ».
Sur un autre plan, Yoonu Askan Wi salue «la décision de la Cour Suprême rejetant les pourvois en cassation introduits par les avocats de Karim WADE dans la vaine tentative d’obtenir sa libération». En effet, «l’assainissement des mœurs politiques et sociales dans notre pays, la moralisation de la vie politique et publique nationale dans ses différents compartiments exigent, non seulement la lutte soutenue contre le phénomène pernicieux de la transhumance, développée notamment dans notre pays par des ‘’VIP de la politique politicienne’’, mais aussi la traque jusqu’au bout des biens mal acquis, sans parti pris ni faiblesse, la lutte sans quartier contre la corruption, l’impunité, l’accaparement et la prédation des ressources nationales. Nous partageons parfaitement à ce propos l’initiative de pétition citoyenne que vient de lancer le M23".
Par ailleurs, Yoonu Askan Wi, «tout en condamnant le recours à la violence dans l’espace universitaire, estime que la place des étudiants arrêtés lors de la récente visite du Président SALL à l’UCAD, n’est pas la prison. A nos yeux, l’université se doit d’être un haut lieu de culture du savoir, du savoir-faire et du savoir-être-ensemble dans un espace de débats d’idées fécondes ou de confrontation saine de projets de société différents.
S’agissant de la recrudescence des cas de meurtres de Sénégalais dans divers pays d’accueil en Afrique, en Europe et en Amérique, Yoonu Askan Wi, dans un communiqué parvenu à Pressafrik.com, «ne peut pas manquer d’exprimer sa grande désolation. Une réaction vigoureuse des autorités sénégalaises en direction des gouvernements des pays concernés s’impose, mais aussi des efforts à la fois de développement national endogène et de sensibilisation de nos compatriotes de la diaspora dont, faut-il le rappeler, les apports financiers importants au développement économique et social national, de l’ordre de 600 milliards FCFA par an, dépassent nettement ce que nos partenaires traditionnels appellent «Aide publique au développement»».
«Considérant les caractéristiques essentielles du contexte africain et international marqué, d’une part par la crise systémique du modèle néolibéral partout à travers le monde, engendrant récession économique, chômage, pauvreté, exclusions, racisme et xénophobie, crimes de toutes sortes, guerres injustes et terrorisme, d’autre part par une montée des luttes et résistances des peuples, les jeunes et les travailleurs en tête, contre la domination et l’exploitation, à l’exemple du NON massif du peuple grec aux politiques d’austérité de la Troïka UE-BCE-FMI, des victoires politiques ou diplomatiques arrachées de haute lutte par les peuples à travers le monde, entre autres de Cuba, du Venezuela, de l’Iran, de la Palestine ou du Burkina Faso, dans le combat pour la justice, la république démocratique et sociale, la libération de toutes les chaines de l’esclavage et de l’oppression, le développement humain durable, l’épanouissement collectif et individuel; considérant la situation nationale qui reste marquée par le chemin toujours difficile et précaire vers le retour définitif de la paix en Casamance, la mise en œuvre de décisions non concertées comme la substitution de fait du PSE aux conclusions des Assises nationales, le passage précipité et au forceps à l’Acte III de la décentralisation avec de multiples conséquences négatives sur la vie des collectivités locales, la signature des Accords de Partenariat Economique imposés par l’Union Européenne, l’implication de nos soldats dans la guerre injuste de l’Arabie saoudite contre le Yémen, …la crise endémique du système éducatif national, de l’élémentaire au supérieur en passant par le moyen-secondaire, ainsi que les perturbations récurrentes du service public de santé… », le Conseil Général de Yoonu Askan Wi prône pour «un vaste mouvement d’émancipation et d’éducation nouvelle pour le changement positif des mentalités et des comportements,… ».
Sur un autre plan, Yoonu Askan Wi salue «la décision de la Cour Suprême rejetant les pourvois en cassation introduits par les avocats de Karim WADE dans la vaine tentative d’obtenir sa libération». En effet, «l’assainissement des mœurs politiques et sociales dans notre pays, la moralisation de la vie politique et publique nationale dans ses différents compartiments exigent, non seulement la lutte soutenue contre le phénomène pernicieux de la transhumance, développée notamment dans notre pays par des ‘’VIP de la politique politicienne’’, mais aussi la traque jusqu’au bout des biens mal acquis, sans parti pris ni faiblesse, la lutte sans quartier contre la corruption, l’impunité, l’accaparement et la prédation des ressources nationales. Nous partageons parfaitement à ce propos l’initiative de pétition citoyenne que vient de lancer le M23".
Par ailleurs, Yoonu Askan Wi, «tout en condamnant le recours à la violence dans l’espace universitaire, estime que la place des étudiants arrêtés lors de la récente visite du Président SALL à l’UCAD, n’est pas la prison. A nos yeux, l’université se doit d’être un haut lieu de culture du savoir, du savoir-faire et du savoir-être-ensemble dans un espace de débats d’idées fécondes ou de confrontation saine de projets de société différents.
S’agissant de la recrudescence des cas de meurtres de Sénégalais dans divers pays d’accueil en Afrique, en Europe et en Amérique, Yoonu Askan Wi, dans un communiqué parvenu à Pressafrik.com, «ne peut pas manquer d’exprimer sa grande désolation. Une réaction vigoureuse des autorités sénégalaises en direction des gouvernements des pays concernés s’impose, mais aussi des efforts à la fois de développement national endogène et de sensibilisation de nos compatriotes de la diaspora dont, faut-il le rappeler, les apports financiers importants au développement économique et social national, de l’ordre de 600 milliards FCFA par an, dépassent nettement ce que nos partenaires traditionnels appellent «Aide publique au développement»».
«Considérant les caractéristiques essentielles du contexte africain et international marqué, d’une part par la crise systémique du modèle néolibéral partout à travers le monde, engendrant récession économique, chômage, pauvreté, exclusions, racisme et xénophobie, crimes de toutes sortes, guerres injustes et terrorisme, d’autre part par une montée des luttes et résistances des peuples, les jeunes et les travailleurs en tête, contre la domination et l’exploitation, à l’exemple du NON massif du peuple grec aux politiques d’austérité de la Troïka UE-BCE-FMI, des victoires politiques ou diplomatiques arrachées de haute lutte par les peuples à travers le monde, entre autres de Cuba, du Venezuela, de l’Iran, de la Palestine ou du Burkina Faso, dans le combat pour la justice, la république démocratique et sociale, la libération de toutes les chaines de l’esclavage et de l’oppression, le développement humain durable, l’épanouissement collectif et individuel; considérant la situation nationale qui reste marquée par le chemin toujours difficile et précaire vers le retour définitif de la paix en Casamance, la mise en œuvre de décisions non concertées comme la substitution de fait du PSE aux conclusions des Assises nationales, le passage précipité et au forceps à l’Acte III de la décentralisation avec de multiples conséquences négatives sur la vie des collectivités locales, la signature des Accords de Partenariat Economique imposés par l’Union Européenne, l’implication de nos soldats dans la guerre injuste de l’Arabie saoudite contre le Yémen, …la crise endémique du système éducatif national, de l’élémentaire au supérieur en passant par le moyen-secondaire, ainsi que les perturbations récurrentes du service public de santé… », le Conseil Général de Yoonu Askan Wi prône pour «un vaste mouvement d’émancipation et d’éducation nouvelle pour le changement positif des mentalités et des comportements,… ».