La deuxième édition du Gov’athon s’est tenue, ce mardi en présence d’Olivier Boucal, Ministre de la Fonction publique et de la Réforme du Service public. Plus qu’un concours technologique, l’événement marque un tournant dans la modernisation de l’administration sénégalaise par l’inclusion numérique et la participation citoyenne.
Dans un contexte où les usagers exigent une administration plus agile et transparente, le gouvernement sénégalais a choisi de parier sur l’intelligence collective. Pour Olivier Boucal, le Gov’athon n’est plus une simple option, mais une nécessité démocratique.
« La participation citoyenne ne saurait plus être un slogan. Elle est devenue une exigence pour tout État voulant renforcer la confiance de ses citoyens », a déclaré le Ministre lors de son allocution d’ouverture.
L'engouement suscité par cette édition 2025 témoigne de la vitalité de l'écosystème numérique local. Avec plus de 800 projets soumis et l’implication de 2 000 acteurs directs, la jeunesse sénégalaise a répondu présent. Les solutions proposées touchent à des secteurs vitaux : inclusion, transparence, gestion administrative, accueil et accès à l'information.
Le Ministre a tenu à saluer la maturité des candidats : « La jeunesse ne se contente plus de constater les limites du service public, elle propose des solutions concrètes ». Il a toutefois rappelé que l'innovation ne se mesure pas au nombre de "slides" ou de discours, mais à son impact réel sur le quotidien des Sénégalais.
L’une des grandes annonces de cette cérémonie est la mise en place d'un accompagnement post-Gov’athon. L’État s’engage à ne pas laisser les projets des lauréats au stade de simples prototypes. Il parle d’Expérimentation (Facilitation de l'intégration des solutions dans les ministères concernés), de pérennisation a savoir, (l’utilisation de dispositifs comme le programme CIMA pour consolider les projets), et la prospective à travers (la Création de laboratoires d’innovation, laboratoires de co-construction en collaboration avec le ministère de l’Innovation pour instaurer une capacité permanente de réforme au sein de l'État).
Le Ministre a également rendu hommage aux partenaires, notamment au Maroc, salué pour son accompagnement actif dans le domaine technologique, ainsi qu'au secteur privé national, dont l'implication s'aligne sur la stratégie nationale de développement Sénégal 2050.
En clôturant la cérémonie, Olivier Boucal a rappelé aux innovateurs que servir l’État est avant tout un acte de patriotisme : « Le numérique doit toujours servir l'humain. L'innovation publique doit être responsable. Elle doit renforcer la confiance et non créer de nouvelles exclusions ».
Le Gov’athon 2025 se termine ainsi sur une promesse de l’État : celle d'ouvrir grand ses portes aux talents de la nation pour bâtir une administration plus proche, plus transparente et résolument tournée vers l'avenir.
Dans un contexte où les usagers exigent une administration plus agile et transparente, le gouvernement sénégalais a choisi de parier sur l’intelligence collective. Pour Olivier Boucal, le Gov’athon n’est plus une simple option, mais une nécessité démocratique.
« La participation citoyenne ne saurait plus être un slogan. Elle est devenue une exigence pour tout État voulant renforcer la confiance de ses citoyens », a déclaré le Ministre lors de son allocution d’ouverture.
L'engouement suscité par cette édition 2025 témoigne de la vitalité de l'écosystème numérique local. Avec plus de 800 projets soumis et l’implication de 2 000 acteurs directs, la jeunesse sénégalaise a répondu présent. Les solutions proposées touchent à des secteurs vitaux : inclusion, transparence, gestion administrative, accueil et accès à l'information.
Le Ministre a tenu à saluer la maturité des candidats : « La jeunesse ne se contente plus de constater les limites du service public, elle propose des solutions concrètes ». Il a toutefois rappelé que l'innovation ne se mesure pas au nombre de "slides" ou de discours, mais à son impact réel sur le quotidien des Sénégalais.
L’une des grandes annonces de cette cérémonie est la mise en place d'un accompagnement post-Gov’athon. L’État s’engage à ne pas laisser les projets des lauréats au stade de simples prototypes. Il parle d’Expérimentation (Facilitation de l'intégration des solutions dans les ministères concernés), de pérennisation a savoir, (l’utilisation de dispositifs comme le programme CIMA pour consolider les projets), et la prospective à travers (la Création de laboratoires d’innovation, laboratoires de co-construction en collaboration avec le ministère de l’Innovation pour instaurer une capacité permanente de réforme au sein de l'État).
Le Ministre a également rendu hommage aux partenaires, notamment au Maroc, salué pour son accompagnement actif dans le domaine technologique, ainsi qu'au secteur privé national, dont l'implication s'aligne sur la stratégie nationale de développement Sénégal 2050.
En clôturant la cérémonie, Olivier Boucal a rappelé aux innovateurs que servir l’État est avant tout un acte de patriotisme : « Le numérique doit toujours servir l'humain. L'innovation publique doit être responsable. Elle doit renforcer la confiance et non créer de nouvelles exclusions ».
Le Gov’athon 2025 se termine ainsi sur une promesse de l’État : celle d'ouvrir grand ses portes aux talents de la nation pour bâtir une administration plus proche, plus transparente et résolument tournée vers l'avenir.