
Le 8 mars dernier, Donald Trump annonçait à la surprise générale qu'il avait accepté une invitation du dirigeant nord-coréen, Kim Jong-un. Le président des États-Unis se montre alors très optimiste. Fraîchement nommé, son secrétaire d'État, Mike Pompeo, se retrouve en première ligne dans le dossier. Ce dernier se rend en Corée du Nord à deux reprises en l'espace de quelques semaines. À l'issue de son second déplacement, il ramène avec lui, en signe de bonne coopération, trois prisonniers américains. Dans la foulée, après plusieurs mois de négociations, Américains et Nord-Coréens conviennent d'une date et d'un lien: le 12 juin à Singapour.