Dans un entretien qu’il a accordé à nos confrères, le journaliste écrivain, Abdou Latif Coulibaly a souligné que le tribunal correctionnel de Dakar a dit le droit. Et la médiatisation de cette affaire explique-t-il, est due au statut de Khalifa Sall et de sa carrière politique. Selon lui, c’est la situation de son statut qui fait qu’on en arrive à oublier les faits pour lesquels il a été déclaré coupable. Car, il s’agit d’une affaire ordinaire.
M. Coulibaly a également indiqué n’avoir pas souhaité un tel sort à Khalifa Sall. Car, c’est une personne avec laquelle, il entretient une relation amicale et fraternelle qu’il continue d’assumer.
Selon lui, les juges ont souverainement dit que les faits qui lui sont reprochés, sont établis et en ont tiré les conséquences de droit qui s’imposent. « Je ne me réjouis absolument pas de ce qui lui arrive. Je suis d’autant plus peiné que j’assume une relation amicale et fraternelle de longue date avec Khalifa. Le droit est dit, je constate. D’autres, comme moi-même ont été condamnés par la justice, je comprends bien tout cela », a-t-il dit.
Le maire de la ville de Dakar Khalifa Ababacar Sall a été condamné à 5 ans de prison ferme vendredi 30 mars 2018 pour faux et usage de faux en écriture de commerce, faux et usage de faux dans des documents administratifs et escroquerie portant sur des deniers publics.
M. Coulibaly a également indiqué n’avoir pas souhaité un tel sort à Khalifa Sall. Car, c’est une personne avec laquelle, il entretient une relation amicale et fraternelle qu’il continue d’assumer.
Selon lui, les juges ont souverainement dit que les faits qui lui sont reprochés, sont établis et en ont tiré les conséquences de droit qui s’imposent. « Je ne me réjouis absolument pas de ce qui lui arrive. Je suis d’autant plus peiné que j’assume une relation amicale et fraternelle de longue date avec Khalifa. Le droit est dit, je constate. D’autres, comme moi-même ont été condamnés par la justice, je comprends bien tout cela », a-t-il dit.
Le maire de la ville de Dakar Khalifa Ababacar Sall a été condamné à 5 ans de prison ferme vendredi 30 mars 2018 pour faux et usage de faux en écriture de commerce, faux et usage de faux dans des documents administratifs et escroquerie portant sur des deniers publics.