Les autorités sénégalaises n'y ont pas cru lorsque la Mauritanie les a informées de l'arrestation à Nouakchott de Nouzha Nissrine Dagher qui a semé la mort et la désolation à Dakar. Cette Libanaise était employée à la représentation diplomatique de l'Egypte. Tout commence lorsqu'elle effectue un prêt de 5000 dollars à défalquer sur son salaire, avant de disparaitre dans la nature.
Pour ne laisser aucune trace, elle empoisonne son gardien du nom de Pape Mame Sarr, avant de rallier Kaolack. Où un policier l'aidera de trouver de vrais-faux papiers. Arrêté, ce dernier a déclaré avoir agi sur la base d'un acte de naissance que lui a donné la Libanaise.
Il révélera aux enquêteurs que Dagher était en route pour la Mauritanie. Presque, dans la même période, un Libanais, Mohamed Hoballa saisit les autorités judiciaire d'une plainte contre Dagher qui l'a délesté de 350 millions de F cfa soit disant qu'elle avait le pouvoir de multiplier des billets.
C'est ainsi que les autorités Sénégalais lance un projet de mandat d'arrêt international contre la Libanaise qui s'était faites discrète jusqu'à ce qu'elle commette une erreur. Se rendant au palais de justice de Nouakchott pour porter plainte contre un compatriote du nom d'Oumar Ndiaye qu'elle accusait d'escroquerie. Identifiée, elle a été automatiquement placée sous mandat de dépôt à la prison des femmes, le temps d'être extrader au Sénégal.
Pour ne laisser aucune trace, elle empoisonne son gardien du nom de Pape Mame Sarr, avant de rallier Kaolack. Où un policier l'aidera de trouver de vrais-faux papiers. Arrêté, ce dernier a déclaré avoir agi sur la base d'un acte de naissance que lui a donné la Libanaise.
Il révélera aux enquêteurs que Dagher était en route pour la Mauritanie. Presque, dans la même période, un Libanais, Mohamed Hoballa saisit les autorités judiciaire d'une plainte contre Dagher qui l'a délesté de 350 millions de F cfa soit disant qu'elle avait le pouvoir de multiplier des billets.
C'est ainsi que les autorités Sénégalais lance un projet de mandat d'arrêt international contre la Libanaise qui s'était faites discrète jusqu'à ce qu'elle commette une erreur. Se rendant au palais de justice de Nouakchott pour porter plainte contre un compatriote du nom d'Oumar Ndiaye qu'elle accusait d'escroquerie. Identifiée, elle a été automatiquement placée sous mandat de dépôt à la prison des femmes, le temps d'être extrader au Sénégal.
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