«Il ne s’agira pas de dissoudre à nouveau les amicales, ce qui relève de l’autorité des assemblée de facultés (…), mais d’identifier ceux qui ont porté atteinte à l’article 20 (loi sur les franchises universitaires) et de les punir conformément à la loi», prévient le recteur de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD).
Parlant de «violences et voies de fait sur le campus, à la Faculté de lettres et des sciences humaines (FSLH) en particulier et tout au long du tronçon de l’avenue Cheikh Anta Diop, avec l’obstruction de la circulation », Ibrahima Thioub indique que l’assemblée de l’Université, réunie en conseil restreint dans la matinée, lui a donné mandat d’apporter des réponses graduées et appropriées à la nature des agressions qui visent à installer l’institution dans des zones de troubles et de turbulences.
Le recteur qui cite l’article 20 qui stipule que «lorsque les étudiants s’abstiennent de suivre les enseignements par suite d’une décision concertée, ils ne peuvent à l’aide de violences, menaces ou manœuvres, porter atteinte à l’ordre public, au fonctionnement régulier des institutions universitaires ou au libre exercice par d’autres étudiants de toute activité universitaire».
«Toute infraction aux dispositions du présent article entraîne des sanctions disciplinaires pouvant aller jusqu’à l’exclusion définitive», menace Ibrahima Thioub. Selon lui, «le problème, c’est qu’il ne s’agit pas de procéder à une punition collective mais d’arriver à repérer ceux qui sont individuellement les auteurs des troubles et de les traduire en conseil de discipline et éventuellement avec des poursuites pénales».
Avec APS
Parlant de «violences et voies de fait sur le campus, à la Faculté de lettres et des sciences humaines (FSLH) en particulier et tout au long du tronçon de l’avenue Cheikh Anta Diop, avec l’obstruction de la circulation », Ibrahima Thioub indique que l’assemblée de l’Université, réunie en conseil restreint dans la matinée, lui a donné mandat d’apporter des réponses graduées et appropriées à la nature des agressions qui visent à installer l’institution dans des zones de troubles et de turbulences.
Le recteur qui cite l’article 20 qui stipule que «lorsque les étudiants s’abstiennent de suivre les enseignements par suite d’une décision concertée, ils ne peuvent à l’aide de violences, menaces ou manœuvres, porter atteinte à l’ordre public, au fonctionnement régulier des institutions universitaires ou au libre exercice par d’autres étudiants de toute activité universitaire».
«Toute infraction aux dispositions du présent article entraîne des sanctions disciplinaires pouvant aller jusqu’à l’exclusion définitive», menace Ibrahima Thioub. Selon lui, «le problème, c’est qu’il ne s’agit pas de procéder à une punition collective mais d’arriver à repérer ceux qui sont individuellement les auteurs des troubles et de les traduire en conseil de discipline et éventuellement avec des poursuites pénales».
Avec APS
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