Le Mali, le G5 Sahel, avaient été poussés par Paris en haut de l’agenda de la précédente Assemblée générale. Mais depuis l’an dernier, très peu a avancé, une simple réunion au niveau ministériel est prévue ce mercredi : le G5 Sahel commence à peine à recevoir les fonds promis lors de la conférence des donateurs de Bruxelles et la perspective d’une pérennisation du financement de cette force via les Nations Unies s’éloigne, dit-on, en raison d’un refus des Etats-Unis. Peu chance aussi d’avoir un accord sur le renforcement du mandat de la Minusma au Mali.
Pour la Centrafrique et la Minusca, difficile aussi d’espérer lors du huis clos de jeudi un renforcement des capacités de cette mission pourtant très décriée, dit une source onusienne, tant les Français et les Russes sont à couteaux tirés. Du côté de Paris, on assure qu’une démarche commune sera dévoilée cette semaine.
La RDC refuse de participer à un évènement autour de la Monusco et de la crise dans son pays, prévu pour vendredi. Les Nations Unies pourraient tout simplement l’annuler.
Pour la Centrafrique et la Minusca, difficile aussi d’espérer lors du huis clos de jeudi un renforcement des capacités de cette mission pourtant très décriée, dit une source onusienne, tant les Français et les Russes sont à couteaux tirés. Du côté de Paris, on assure qu’une démarche commune sera dévoilée cette semaine.
La RDC refuse de participer à un évènement autour de la Monusco et de la crise dans son pays, prévu pour vendredi. Les Nations Unies pourraient tout simplement l’annuler.
Autres articles
-
Expulsions en Algérie : 11 migrants meurent de soif dans le désert, selon Alarme Phone Sahara
-
Togo: installation de la nouvelle Assemblée nationale inaugurant la Vᵉ République
-
Haïti: le déploiement de troupes kényanes toujours contesté par l'opposition à Nairobi
-
Brice Ahounou, anthropologue franco-béninois: «Il serait urgent que les frères d’Afrique viennent au secours d’Haïti»
-
Gabon: ce que dit la plainte pour séquestration et torture de la famille Bongo