Les sociétés Daport et Fraport constitueraient l’arbre qui cache la forêt dans cette stratégie de pillage des ressources nationales minutieusement organisées. En clair, derrière ces deux entreprises il existe d’autres qui ont la main mise sur les ressources des deux aéroports du Sénégal. On peut citer Afriport, Contact Flughafen Konzessions Gmbh. Et pour en avoir l’esprit éclairé, le journal Libération a obtenu la copie du procès verbal de l’audition d’Ulrich Heinz Heppe, directeur général de Daport, devant la commission de la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite (CREI).
Et, dans ce document le premier élément suspect est que Heppe qui dirige la société précitée ignore comment elle a été montée «Tout ce que je sais, est que c’est en 2006 qu’elle a été constituée, tel que cela résulte des documents dont j’ai pu prendre connaissance. A l’heure actuelle, je suis la seule personne qui travaille directement pour Daport Sa laquelle j’ai été prêtée par Fraport qui est mon employeur. La société n’a pas encore d’employée pour la bonne et simple raison que l’aéroport international Blaise Diagne qu’elle doit gérer, n’est pas encore fonctionnel».
En à croire le journal Libération, le document bancaire pointe du doigt d’autres curiosités. Pire il a été souligné que le capital de Daport a été augmenté une première fois à plus de 300 millions de Fcfa et une seconde fois à 524 756 000 millions respectivement les 8 février et 6 juillet 2012 sans que cela n’ai entrainé des modifications des statuts des entreprises avec l’identification des actionnaires souscripteurs.
Et, dans ce document le premier élément suspect est que Heppe qui dirige la société précitée ignore comment elle a été montée «Tout ce que je sais, est que c’est en 2006 qu’elle a été constituée, tel que cela résulte des documents dont j’ai pu prendre connaissance. A l’heure actuelle, je suis la seule personne qui travaille directement pour Daport Sa laquelle j’ai été prêtée par Fraport qui est mon employeur. La société n’a pas encore d’employée pour la bonne et simple raison que l’aéroport international Blaise Diagne qu’elle doit gérer, n’est pas encore fonctionnel».
En à croire le journal Libération, le document bancaire pointe du doigt d’autres curiosités. Pire il a été souligné que le capital de Daport a été augmenté une première fois à plus de 300 millions de Fcfa et une seconde fois à 524 756 000 millions respectivement les 8 février et 6 juillet 2012 sans que cela n’ai entrainé des modifications des statuts des entreprises avec l’identification des actionnaires souscripteurs.
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