L'affrontement entre le leader de "Bamba Fepp" et le "Dahira Moukhadimatoul Khidma tenu de surveiller la Grande Mosquée de Touba, se poursuit dans les médias. Le chargé de la communication du « Dahira » Moukhadimatoul Khidma donne sa version des faits.
«Il y a certaines choses qu’on ne va jamais accepter dans l’enceinte de la Mosquée. Il (Kara) est venu avec une forte délégation, accompagné de caméras. On se connait, mais à son arrivée, il ne s’est pas approché pour nous dire l’objet de sa visite et pourquoi la présence des caméras. S’il l’avait fait, il n’y aurait eu aucun problème», soutient Makhtar Kane.
Poursuivant, il ajoute que Serigne Modou Kara «a voulu insister et (eux) aussi, avons campé sur leur position». « Nous n’avions aucune intention de nous bagarrer avec Serigne Modou kara. Il est à la fois, un père, un oncle, un neveu, un fils,… Nous n’avons pas interdit de filmer, mais on doit respecter les règles», affirme-t-il.
Avant de préciser dans un interview avec le journal "l'Observateur": «Nous n’avons pas eu à discuter avec lui. Nous ignorons même ce qu’il était venu faire à la Grande Mosquée. Il s’y est présenté, accompagné d’une centaine de ses talibés, avec un comportement peu recommandé dans ce genre d’endroit. Nous ne permettrons à personne de transgresser les règles de la Mosquée».
Pour le membre de la cellule de surveillance : «S’il «(Modou Kara) était venu (leur) expliquer ce qu’il voulait faire, les choses n’allaient pas connaitre cette tournure. A un certain moment, il a compris et dit à ses lieutenants qu’ils devaient d’abord demander l’autorisation du "Dahira". Mais, ses hommes n’ont pas voulu l’écouter. Même le président de la République doit respecter ces règles, c’est une obligation».
«Il y a certaines choses qu’on ne va jamais accepter dans l’enceinte de la Mosquée. Il (Kara) est venu avec une forte délégation, accompagné de caméras. On se connait, mais à son arrivée, il ne s’est pas approché pour nous dire l’objet de sa visite et pourquoi la présence des caméras. S’il l’avait fait, il n’y aurait eu aucun problème», soutient Makhtar Kane.
Poursuivant, il ajoute que Serigne Modou Kara «a voulu insister et (eux) aussi, avons campé sur leur position». « Nous n’avions aucune intention de nous bagarrer avec Serigne Modou kara. Il est à la fois, un père, un oncle, un neveu, un fils,… Nous n’avons pas interdit de filmer, mais on doit respecter les règles», affirme-t-il.
Avant de préciser dans un interview avec le journal "l'Observateur": «Nous n’avons pas eu à discuter avec lui. Nous ignorons même ce qu’il était venu faire à la Grande Mosquée. Il s’y est présenté, accompagné d’une centaine de ses talibés, avec un comportement peu recommandé dans ce genre d’endroit. Nous ne permettrons à personne de transgresser les règles de la Mosquée».
Pour le membre de la cellule de surveillance : «S’il «(Modou Kara) était venu (leur) expliquer ce qu’il voulait faire, les choses n’allaient pas connaitre cette tournure. A un certain moment, il a compris et dit à ses lieutenants qu’ils devaient d’abord demander l’autorisation du "Dahira". Mais, ses hommes n’ont pas voulu l’écouter. Même le président de la République doit respecter ces règles, c’est une obligation».
«Après l’interdiction il a fait une déclaration. Mais, il devait commencer par là, en nous expliquant l’objet de sa visite», tranche le chargé de communication du « Dahira .
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