Le chef de l’État a pris ce mercredi un décret d’avance d'un montant de 659 millions. Cette somme est destinée à compléter le financement de l’acquisition par le gouvernement du Sénégal de deux appareils de radiothérapie.
Les machines valent 2 milliards 766 millions 171 mille 430 francs CFA. Elles devraient être livrées entre fin avril et début mai pour être fonctionnelles au mois de juillet. Elles seront affectées à l’hôpital Dallal Jamm de Guédiawaye.
Les fonds décaissés par Macky Sall portent à 884 millions 387 mille 647 francs CFA, soit 32% du coût global, la contribution du Sénégal pour le financement de l’achat des appareils. Le Fonds saoudien, le Fonds de développement de l’Opep et la Banque islamique de développement sont les autres bailleurs.
Le chef de l’État a pris ce décret d’avance parce que le montant en question n’est pas inscrit dans le budget 2017. Et pour cause. Les 659 millions devaient être supportés, pour l’acquisition des deux machines, par la Banque arabe pour le développement économique (Badea), qui a son siège à Khartoum. Mais le Soudan faisant l’objet d’un embargo international, la Badea ne pouvait plus respecter son engagement et procéder au décaissement. Cet imprévu aurait retardé l’opération, d’après certains membres du gouvernement dont le ministre de l’Économie, des Finances et du Plan, Amadou Bâ.
Les deux machines sont attendues au Sénégal entre fin avril et début mai. Leur montage et les tests sont prévus en juin et la mise en marche en juillet. Dans cette perspective, le docteur Martin Treml, le patron de Vamed, la société qui vend les machines au Sénégal, a été reçu récemment par les autorités.
Les machines valent 2 milliards 766 millions 171 mille 430 francs CFA. Elles devraient être livrées entre fin avril et début mai pour être fonctionnelles au mois de juillet. Elles seront affectées à l’hôpital Dallal Jamm de Guédiawaye.
Les fonds décaissés par Macky Sall portent à 884 millions 387 mille 647 francs CFA, soit 32% du coût global, la contribution du Sénégal pour le financement de l’achat des appareils. Le Fonds saoudien, le Fonds de développement de l’Opep et la Banque islamique de développement sont les autres bailleurs.
Le chef de l’État a pris ce décret d’avance parce que le montant en question n’est pas inscrit dans le budget 2017. Et pour cause. Les 659 millions devaient être supportés, pour l’acquisition des deux machines, par la Banque arabe pour le développement économique (Badea), qui a son siège à Khartoum. Mais le Soudan faisant l’objet d’un embargo international, la Badea ne pouvait plus respecter son engagement et procéder au décaissement. Cet imprévu aurait retardé l’opération, d’après certains membres du gouvernement dont le ministre de l’Économie, des Finances et du Plan, Amadou Bâ.
Les deux machines sont attendues au Sénégal entre fin avril et début mai. Leur montage et les tests sont prévus en juin et la mise en marche en juillet. Dans cette perspective, le docteur Martin Treml, le patron de Vamed, la société qui vend les machines au Sénégal, a été reçu récemment par les autorités.
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