La révélation de wikileaks concernant l’arrestation de Karim Wade en 2009 au Maroc pour possession de drogue ne laisse pas indifférent le mouvement citoyenne, Conscience citoyenne. En effet, son président, Malick Mbaye qui se prononçait sur les ondes de la Rfm, a qualifié de «graves» les faits avant d’indiquer que «ça ne s’adresse pas à un citoyen lambda mais à un Ministre d’Etat qui plus est chargé de la Coopération Internationale et fils président.
Selon lui, ce qui est grave c’est qu’on dirait qu’il y a deux catégories de citoyens. Il y a de jeunes sénégalais qui ont été pris avec 250 grammes de chanvre indiens et qui, aujourd’hui, purgent une peine de 6 mois à deux ans dans les prisons. Figurez-vous également il y a des gens pris sur le coup de la loi Latif Guèye qui vont purger 10 ans. Donc, dit-il, «quand d’aussi graves révélations où accusations sont faites à une personnalité de l’Etat du Sénégal, ce qui sécurise et rassure les citoyens c’est que celui-là puisse faire preuve de magnanimité, de générosité et qu’il puisse se mettre à la disposition de la justice».
Pour le Président de Conscience Citoyenne, dans pareilles situations, ce que l’intéressé doit faire, c’est se démettre de ses fonctions, de porter-plainte et de demander que la lumière soit faite. «Si maintenant de tout ce qu’on lui reproche, il n’y a rien, écoutez rien empêche qu’il retrouve son fauteuil Ministériel» a-t-il suggéré.
Selon lui, ce qui est grave c’est qu’on dirait qu’il y a deux catégories de citoyens. Il y a de jeunes sénégalais qui ont été pris avec 250 grammes de chanvre indiens et qui, aujourd’hui, purgent une peine de 6 mois à deux ans dans les prisons. Figurez-vous également il y a des gens pris sur le coup de la loi Latif Guèye qui vont purger 10 ans. Donc, dit-il, «quand d’aussi graves révélations où accusations sont faites à une personnalité de l’Etat du Sénégal, ce qui sécurise et rassure les citoyens c’est que celui-là puisse faire preuve de magnanimité, de générosité et qu’il puisse se mettre à la disposition de la justice».
Pour le Président de Conscience Citoyenne, dans pareilles situations, ce que l’intéressé doit faire, c’est se démettre de ses fonctions, de porter-plainte et de demander que la lumière soit faite. «Si maintenant de tout ce qu’on lui reproche, il n’y a rien, écoutez rien empêche qu’il retrouve son fauteuil Ministériel» a-t-il suggéré.
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