Le juge d’instruction du 8e cabinet a placé sous mandat de dépôt 42 talibés de Kara sur les 43 incriminés dans l’affaire des centres de redressement appartenant au marabout et homme politique.
Seul Pépé Diao, fils du richissime homme d’affaires Baba Diao, a échappé à la prison. Il a été placé sous contrôle judiciaire pour avoir prêté sa maison qui a servi de centre de redressement à Ouakam. Les 42 autres disciples de Serigne Modou Kara sont poursuivis pour « association de malfaiteurs, séquestration, blanchiment de capitaux etc ».
Lundi, Mes Bamba Cissé et El hadj Diouf, se sont retirés de la défense de Kara, après que ce dernier ait soutenu qu’il n’a pas besoin d’avocat. Les mis en cause ont fait recours à Mes Tall et Danfakha lors de leur audition par le magistrat instructeur.
Entre le 26 et le 28 novembre, la gendarmerie sénégalaise a découvert dans la banlieue de Dakar (à Guédiawaye et à Malika) et dans la capitale (zone B), des cas de séquestrations dans les centres de redressements appartenant à Serigne Modou Kara.
Plus de 350 jeunes regroupés dans ces établissements auraient été victimes d’actes de « séquestration », de « maltraitance », voire même de « tortures », relate la gendarmerie. Les victimes souffrent de « malnutrition sévère » et leurs corps portent les traces de « sévices corporels », ajoutent les enquêteurs.
Seul Pépé Diao, fils du richissime homme d’affaires Baba Diao, a échappé à la prison. Il a été placé sous contrôle judiciaire pour avoir prêté sa maison qui a servi de centre de redressement à Ouakam. Les 42 autres disciples de Serigne Modou Kara sont poursuivis pour « association de malfaiteurs, séquestration, blanchiment de capitaux etc ».
Lundi, Mes Bamba Cissé et El hadj Diouf, se sont retirés de la défense de Kara, après que ce dernier ait soutenu qu’il n’a pas besoin d’avocat. Les mis en cause ont fait recours à Mes Tall et Danfakha lors de leur audition par le magistrat instructeur.
Entre le 26 et le 28 novembre, la gendarmerie sénégalaise a découvert dans la banlieue de Dakar (à Guédiawaye et à Malika) et dans la capitale (zone B), des cas de séquestrations dans les centres de redressements appartenant à Serigne Modou Kara.
Plus de 350 jeunes regroupés dans ces établissements auraient été victimes d’actes de « séquestration », de « maltraitance », voire même de « tortures », relate la gendarmerie. Les victimes souffrent de « malnutrition sévère » et leurs corps portent les traces de « sévices corporels », ajoutent les enquêteurs.
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