« Aujourd’hui, je suis politiquement libre. Toute personne qui souhaite travailler avec moi sera accueillie à bras ouverts». Dixit le Professeur Amsatou Sidibé qui faisait sa première sortie après son limogeage du Palais.
Sur ce limogeage, l’ex ministre conseiller auprès du président de la République en charge des Droits humains et de la Paix affirme que ce n’est pas dû à des problèmes personnels entre elle et son ancien employeur.
En effet, selon elle, le jour de son limogeage, elle s’est entretenue avec le directeur de Cabinet du chef de l’Etat. Et c’est ce dernier qui lui a signifié la fin de sa mission comme ministre conseiller du président de la République en charge des Droits humains et de la Paix.
«Le directeur de cabinet du chef de l’Etat m’a convoquée dans son bureau et il m’a dit qu’il y a eu plusieurs raisons qui faisaient que je devais quitter le Palais ». Et parmi ces points de divergences figurent «mon point de vue opposé à celui de mon collègue, ministre conseiller à propos de l’interprétation d’un article de la Constitution. Et il m’a dit : la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, c’est l’affaire Karim Wade», a déclaré le Pr Amsatou Sow Sidibé.
Selon elle, elle a été victime de ses principes. Principes que rien ne saurait altérer : «j’ai voulu rester fidèle à mes principes et convictions : vérité, sincérité, rupture».
Sur la poursuite de son appartenance à la coalition présidentielle, Amsatou Sow Sidibé donne sa langue au chat et préfère s’accorder un «temps de réflexion pour voir si vais continuer au sein de la coalition Benno bokk yaakaar, ou encore, si je vais dans l’opposition»
Sur ce limogeage, l’ex ministre conseiller auprès du président de la République en charge des Droits humains et de la Paix affirme que ce n’est pas dû à des problèmes personnels entre elle et son ancien employeur.
En effet, selon elle, le jour de son limogeage, elle s’est entretenue avec le directeur de Cabinet du chef de l’Etat. Et c’est ce dernier qui lui a signifié la fin de sa mission comme ministre conseiller du président de la République en charge des Droits humains et de la Paix.
«Le directeur de cabinet du chef de l’Etat m’a convoquée dans son bureau et il m’a dit qu’il y a eu plusieurs raisons qui faisaient que je devais quitter le Palais ». Et parmi ces points de divergences figurent «mon point de vue opposé à celui de mon collègue, ministre conseiller à propos de l’interprétation d’un article de la Constitution. Et il m’a dit : la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, c’est l’affaire Karim Wade», a déclaré le Pr Amsatou Sow Sidibé.
Selon elle, elle a été victime de ses principes. Principes que rien ne saurait altérer : «j’ai voulu rester fidèle à mes principes et convictions : vérité, sincérité, rupture».
Sur la poursuite de son appartenance à la coalition présidentielle, Amsatou Sow Sidibé donne sa langue au chat et préfère s’accorder un «temps de réflexion pour voir si vais continuer au sein de la coalition Benno bokk yaakaar, ou encore, si je vais dans l’opposition»
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