Pour soutenir le secteur privé sénégalais, le Conseil national du patronat (Cnp) promeut l’examen par l’Etat de modalités permettant leur plus grande intervention dans l’économie. Et pour ce faire, il recommande d’«examiner la nature des projets structurants pouvant être réalisés partiellement ou totalement par des privés nationaux et ceux nécessitant l’investissement direct étranger».
Poursuivant sur sa lancée, Baïdy Agne, le président du Cnp soutient qu’en sus de ces mesures, les autorités devraient «définir la préférence-pays de l’investissement direct étranger recherché en privilégiant l’offre-pays la plus avantageuse durablement pour le Sénégal, hiérarchiser nos priorités et nos centres d’intérêts nationaux, favoriser autant que possible la contractualisation entre le privé national et le privé étranger plutôt que cette alliance disproportionnée Etat du Sénégal et privé étranger».
Baïdy Agne conseille aussi d’«organiser les relations entre le privé national et le privé étranger dans les domaines du co-investissement, du transfert de technologie, de la sous traitance etc., et de mettre en place un cadre institutionnel stratégique Etat-Secteur privé national de proposition et de suivi».
Ces propositions ont trouvé l’adhésion de Mahammad Boun Abdallah Dionne venu présider la cérémonie d’ouverture de ces Assises : «Quand on fixe l’émergence comme objectif, on est tenu d’adopter des normes de performance et des pratiques conséquentes. Vous avez dans votre discours élaborez une question qui tient à cœur le chef de l’Etat. Il s’agit de la diplomatie économique. Le président a fait un rappel à nos diplomates sur l’importance de leur rôle dans la promotion de la destination Sénégal en termes d’échanges économiques, commerciaux et d’investissement».
Selon lui, c’est dans ce sens qu’a été fait «un rappel pour le renforcement de la culture économique de nos diplomates, car les attentes du milieu des affaires vis-à-vis des missions diplomatiques et consulaires sont fortes. Le gouvernement veille à travailler en équipe avec le secteur privé pour mettre en œuvre collectivement notre diplomatie économique, susciter l’intérêt des investisseurs étrangers pour notre pays et accompagner les entreprises sénégalaises à l’international», a-t-il conclu.
Poursuivant sur sa lancée, Baïdy Agne, le président du Cnp soutient qu’en sus de ces mesures, les autorités devraient «définir la préférence-pays de l’investissement direct étranger recherché en privilégiant l’offre-pays la plus avantageuse durablement pour le Sénégal, hiérarchiser nos priorités et nos centres d’intérêts nationaux, favoriser autant que possible la contractualisation entre le privé national et le privé étranger plutôt que cette alliance disproportionnée Etat du Sénégal et privé étranger».
Baïdy Agne conseille aussi d’«organiser les relations entre le privé national et le privé étranger dans les domaines du co-investissement, du transfert de technologie, de la sous traitance etc., et de mettre en place un cadre institutionnel stratégique Etat-Secteur privé national de proposition et de suivi».
Ces propositions ont trouvé l’adhésion de Mahammad Boun Abdallah Dionne venu présider la cérémonie d’ouverture de ces Assises : «Quand on fixe l’émergence comme objectif, on est tenu d’adopter des normes de performance et des pratiques conséquentes. Vous avez dans votre discours élaborez une question qui tient à cœur le chef de l’Etat. Il s’agit de la diplomatie économique. Le président a fait un rappel à nos diplomates sur l’importance de leur rôle dans la promotion de la destination Sénégal en termes d’échanges économiques, commerciaux et d’investissement».
Selon lui, c’est dans ce sens qu’a été fait «un rappel pour le renforcement de la culture économique de nos diplomates, car les attentes du milieu des affaires vis-à-vis des missions diplomatiques et consulaires sont fortes. Le gouvernement veille à travailler en équipe avec le secteur privé pour mettre en œuvre collectivement notre diplomatie économique, susciter l’intérêt des investisseurs étrangers pour notre pays et accompagner les entreprises sénégalaises à l’international», a-t-il conclu.
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