«La récurrence des inondations nous oblige à chercher des solutions pérennes». Tels sont les propos du ministre d’état ministre de l’Intérieur, Bécaye Diop lors du début des travaux de l’atelier de partage et de validation des résultats de l’évaluation des dommages, pertes et besoins post-inondations 2009 qu’il a présidé ce matin.
Des propos qui sont la preuve du contexte difficile et récurrent dans lequel se sont tenus ces travaux. Car il reconnaît que les «inondations constituent l’un des fléaux les plus graves que vit notre pays depuis quelques années ».
Les partenaires aux développements s’engagent auprès de l’Etat du Sénégal pour trouver des solutions définitives. Un engagement et une bonne volonté salués par le Directeur de la Protection civile Sidate Diouf. «Nos partenaires techniques et financiers sont prêts à appuyer le Sénégal dans la recherche de solutions durables et à apporter leur précieux concours puisqu’ils considèrent la réduction des risques de catastrophes comme un investissement mais non un coût » s’est-il réjoui.
Cette étude qui a été menée a permis de connaître l’impact des inondations de 2009 qui s’élèvent à une somme supérieure à 100 millions de dollars.
La Direction des Opérations de la Banque mondiale, à travers son représentant Mactar Thiam, donne quelques solutions de sortie de crise. Il pense qu’il faut « d’abord construire des infrastructures de drainage qui permettront l’évacuation des eaux excédentaires, et de mettre en place des mesures de pompage afin de diminuer l’eau de la nappe phréatique ».
Pour ce qui est du ministre d’Etat, il rassure les participants à cet atelier qu’il n’attend que les conclusions de ces travaux, pour les mettre en application afin de résoudre dans le cours et moins terme la question des inondations sur l’ensemble du territoire nationale.
Des propos qui sont la preuve du contexte difficile et récurrent dans lequel se sont tenus ces travaux. Car il reconnaît que les «inondations constituent l’un des fléaux les plus graves que vit notre pays depuis quelques années ».
Les partenaires aux développements s’engagent auprès de l’Etat du Sénégal pour trouver des solutions définitives. Un engagement et une bonne volonté salués par le Directeur de la Protection civile Sidate Diouf. «Nos partenaires techniques et financiers sont prêts à appuyer le Sénégal dans la recherche de solutions durables et à apporter leur précieux concours puisqu’ils considèrent la réduction des risques de catastrophes comme un investissement mais non un coût » s’est-il réjoui.
Cette étude qui a été menée a permis de connaître l’impact des inondations de 2009 qui s’élèvent à une somme supérieure à 100 millions de dollars.
La Direction des Opérations de la Banque mondiale, à travers son représentant Mactar Thiam, donne quelques solutions de sortie de crise. Il pense qu’il faut « d’abord construire des infrastructures de drainage qui permettront l’évacuation des eaux excédentaires, et de mettre en place des mesures de pompage afin de diminuer l’eau de la nappe phréatique ».
Pour ce qui est du ministre d’Etat, il rassure les participants à cet atelier qu’il n’attend que les conclusions de ces travaux, pour les mettre en application afin de résoudre dans le cours et moins terme la question des inondations sur l’ensemble du territoire nationale.
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