En raison de la sécheresse et du manque d’eau, 21 éléphants de la réserve de Gourma sont morts
L’agonie des éléphants a duré plusieurs jours. Arrivés devant une mare dans le nord du Mali, les animaux constatent qu’il y a près de 50 000 bêtes sur place, notamment des bovins. Impossible de plonger leur trompe dans l’eau. Alors, ils prennent la direction d’une autre mare. Mais il faut parcourir soixante-dix kilomètres puis quinze autres kilomètres.
Les pachydermes n’ont quasiment plus de force. Huit d’entre eux tombent raides morts. Les autres parviennent miraculeusement à gagner une autre mare. Onze éléphants boivent alors tellement d’eau que quelques instants après, ils rendent l’âme.
La réserve d’éléphants de Gourma qui s’étend du nord du Mali au Burkina Faso, compte environ 350 éléphants. Elle est considérée comme l’une des rares réserves au monde où le braconnage contre ces animaux n’existe quasiment pas. Biramou Sissoko, chef d’un projet pour la protection de la réserve, confirme l’absence de braconnage sur ces terres : « Il n’ y a pas de braconnage contre les éléphants dans le Gourma. Nous avons mis des équipements au niveau des services des eaux et forêts dans la zone d’intervention... Ils disposent de véhicules, ils disposent de téléphones satellitaires... ».
Par ailleurs les populations locales ont formé de très nombreuses brigades de vigilance pour protéger les éléphants.
Les pachydermes n’ont quasiment plus de force. Huit d’entre eux tombent raides morts. Les autres parviennent miraculeusement à gagner une autre mare. Onze éléphants boivent alors tellement d’eau que quelques instants après, ils rendent l’âme.
La réserve d’éléphants de Gourma qui s’étend du nord du Mali au Burkina Faso, compte environ 350 éléphants. Elle est considérée comme l’une des rares réserves au monde où le braconnage contre ces animaux n’existe quasiment pas. Biramou Sissoko, chef d’un projet pour la protection de la réserve, confirme l’absence de braconnage sur ces terres : « Il n’ y a pas de braconnage contre les éléphants dans le Gourma. Nous avons mis des équipements au niveau des services des eaux et forêts dans la zone d’intervention... Ils disposent de véhicules, ils disposent de téléphones satellitaires... ».
Par ailleurs les populations locales ont formé de très nombreuses brigades de vigilance pour protéger les éléphants.
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