L'ambiance était normale au lycée Philippe-Zinda-Kabore à Ouagadougou. Sur le terrain de sport, des élèves en pleine séance de cours d'éducation physique. Dans les différentes salles de classe, les enseignants dispensent leur cours.
Assis sur un banc, Dramane Sankara, le coordonnateur de l’Association des élèves du secondaire de Ouagadougou (AESO) et ses camarades sont heureux de la signature du protocole d'accord entre le gouvernement et les enseignants : « Ce matin, les cours se sont déroulés normalement. Il y a certains profs même qui ont déjà programmé les évaluations. Dès mardi, mercredi, il y aura des devoirs ».
Au niveau de l'administration du lycée, le censeur Alexis Kyelmen du lycée salue la levée du mot d'ordre de sit-in et de suspension des évaluations : « Il n’y a pas eu de sit-in ce matin. Tout se passe très bien. Tous les anciens étaient présents dans leur classe respective. Le problème, c’était effectivement au niveau des évaluations. Mais depuis la levée du mot d’ordre, je pense que tout est en ordre et que les anciens vont incessamment programmer les différents devoirs dans les différentes classes pour que nous puissions sauver l’année au Burkina Faso ».
Vers une reprise des devoirs
Certains enseignants, aux dires des élèves du lycée Nelson-Mandela, ont donc déjà programmé des évaluations : « Il y a un de nos professeurs qui a programmé son devoir mercredi à 15 heures. On est contents. Il y a un professeur en tout cas qui a déjà programmé un devoir. Mardi prochain ou lundi, on va faire histoire-géo ».
Avec la fin du mouvement d'humeur des enseignants et la reprise des évaluations, le spectre d'une année blanche s'éloigne de l'école au Burkina Faso.
Assis sur un banc, Dramane Sankara, le coordonnateur de l’Association des élèves du secondaire de Ouagadougou (AESO) et ses camarades sont heureux de la signature du protocole d'accord entre le gouvernement et les enseignants : « Ce matin, les cours se sont déroulés normalement. Il y a certains profs même qui ont déjà programmé les évaluations. Dès mardi, mercredi, il y aura des devoirs ».
Au niveau de l'administration du lycée, le censeur Alexis Kyelmen du lycée salue la levée du mot d'ordre de sit-in et de suspension des évaluations : « Il n’y a pas eu de sit-in ce matin. Tout se passe très bien. Tous les anciens étaient présents dans leur classe respective. Le problème, c’était effectivement au niveau des évaluations. Mais depuis la levée du mot d’ordre, je pense que tout est en ordre et que les anciens vont incessamment programmer les différents devoirs dans les différentes classes pour que nous puissions sauver l’année au Burkina Faso ».
Vers une reprise des devoirs
Certains enseignants, aux dires des élèves du lycée Nelson-Mandela, ont donc déjà programmé des évaluations : « Il y a un de nos professeurs qui a programmé son devoir mercredi à 15 heures. On est contents. Il y a un professeur en tout cas qui a déjà programmé un devoir. Mardi prochain ou lundi, on va faire histoire-géo ».
Avec la fin du mouvement d'humeur des enseignants et la reprise des évaluations, le spectre d'une année blanche s'éloigne de l'école au Burkina Faso.
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