«Quand on regarde de manière générale les responsables, il y a des tendances qui ne sont pas acceptées par les uns et les autres. On est en politique souvent on ne peut pas être d’accord sur tout malheureusement» ces déclarations sont de Oumar Youm qui se prononçait sur les agitations notées au sein de la coalition présidentielle. C’était dans l’émission «Objection» de Sud fm. Et le ministre de la Gouvernance locale de poursuivre : «Je pense qu’on est dans le temps d’assumer les responsabilités et chacun doit faire l’effort sur lui-même d’être d’abord très soucieux à la consolidation des acquis de Benno Bokk yaakar, utiliser des éléments de langage qui ne font pas place à des interprétations de nature conflictuelle et essayer de trouver les meilleurs solutions pour essayer de stabiliser la coalition par ce que je pense que nous avons besoin de la coalition».
Sur leur compagnonnage avec le Ps, Oumar Youm déclare : «On ne peut pas répondre de manière générale. D’un allié à un autre il y a des variables. Je ne sais pas s’il y a un problème avec le Parti socialiste mais on en parle de plus en plus et comme on le dit il n’y a pas de fumée sans feu. Mais je ne sais pas quel est le niveau de méfiance ou de confiance. Il y a des difficultés qui sont notées de part et d’autres par certains responsables».
Pour sauvegarder Benno bokk yaakar, Oumar Youm demande à ses leaders à rendre au président de la République la monnaie de sa pièce : «Le Chef de l’Etat a montré dans ses actes de tous les jours sa volonté de partage, d’écoute, de coproduction avec ses alliés, au point de se priver d’une majorité qualifiée au niveau de l’Assemblée nationale, de donner des postes de responsabilités, dans le gouvernement, au sein du Conseil économique, social et environnemental … Maintenant c’est aux autres de mériter cette confiance et de la consolider pas dans l’omerta. Si ça va mal il faut le dire, mais il faut savoir le dire et utiliser les formes qu’il faut parce que c’est ça les obligations de réserve. Je peux comprendre qu’un militant puisse avoir cette liberté de langage mais que ça ne soit pas le cas des responsables. Ce qui est inquiétant c’est qu’on voit de plus en plus des messages venant de hauts responsables. Ce qui ne sont pas des messages qui rassurent».
Sur leur compagnonnage avec le Ps, Oumar Youm déclare : «On ne peut pas répondre de manière générale. D’un allié à un autre il y a des variables. Je ne sais pas s’il y a un problème avec le Parti socialiste mais on en parle de plus en plus et comme on le dit il n’y a pas de fumée sans feu. Mais je ne sais pas quel est le niveau de méfiance ou de confiance. Il y a des difficultés qui sont notées de part et d’autres par certains responsables».
Pour sauvegarder Benno bokk yaakar, Oumar Youm demande à ses leaders à rendre au président de la République la monnaie de sa pièce : «Le Chef de l’Etat a montré dans ses actes de tous les jours sa volonté de partage, d’écoute, de coproduction avec ses alliés, au point de se priver d’une majorité qualifiée au niveau de l’Assemblée nationale, de donner des postes de responsabilités, dans le gouvernement, au sein du Conseil économique, social et environnemental … Maintenant c’est aux autres de mériter cette confiance et de la consolider pas dans l’omerta. Si ça va mal il faut le dire, mais il faut savoir le dire et utiliser les formes qu’il faut parce que c’est ça les obligations de réserve. Je peux comprendre qu’un militant puisse avoir cette liberté de langage mais que ça ne soit pas le cas des responsables. Ce qui est inquiétant c’est qu’on voit de plus en plus des messages venant de hauts responsables. Ce qui ne sont pas des messages qui rassurent».
Autres articles
-
Gestion des conflits frontaliers : le gouverneur de Kaffrine prône une approche communautaire
-
Retrait des soldats américains du Niger : des discussions entamées entre Washington et Niamey
-
72 heures de grève virtuelle de SYNPICS/E-media : la direction réagit et justifie la situation
-
Rapport OFNAC 2022 : des maires de plusieurs communes épinglés
-
Opérations pré-hivernales : le gouverneur de Dakar appelle à une mobilisation communautaire