C'est pendant les affrontements que le gendarme a trouvé la mort et les auteurs de cet acte n'ont pas été identifiés.
Près de 300 gendarmes et militaires ont été déployés dans la localité située à près de 80 km de Bamenda, chef-lieu de la région anglophone du Nord-Ouest, après la mort du gendarme.
C'est la première fois qu'un agent des forces de l'ordre est abattu depuis le début de la crise il y a un an.
Les autorités camerounaises affirment qu'il s'agit d'un acte perpétré par des individus qui appellent au boycott de l'école toujours paralysée.
La situation est très tendue dans la région du nord-ouest. Une enquête a été ouverte selon Patrick Suh Ndele, sous-préfet de Jakiri, qui demande aux populations de résister à ces actes d'intimidation.
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