Après plusieurs heures de débat dans l’hémicycle, les députés centrafricains ont finalement voté à bulletin secret. Les chiffres ont été égrainés dans le silence. Il fallait 93 voix pour faire tomber le président de l’Assemblée nationale Abdou Karim Meckassoua ; 98 se sont finalement exprimées en faveur de sa destitution.
La question d'une perte de confiance en Abdou Karim Meckassoua a été à plusieurs reprises formulée. On lui reproche notamment d'avoir conservé des rapports, détourné des fonds et d'avoir fait du favoritisme. Abdou Meckassoua a répondu aux questions qui lui ont été posées pendant plus d’une heure, calmement, principalement en langue sango et avec des éléments concrets. Il a notamment répondu à celles concernant les soupçons de détournements de fonds liés aux kits électoraux. Mais sans réussir à retourner la situation.
La question d'une perte de confiance en Abdou Karim Meckassoua a été à plusieurs reprises formulée. On lui reproche notamment d'avoir conservé des rapports, détourné des fonds et d'avoir fait du favoritisme. Abdou Meckassoua a répondu aux questions qui lui ont été posées pendant plus d’une heure, calmement, principalement en langue sango et avec des éléments concrets. Il a notamment répondu à celles concernant les soupçons de détournements de fonds liés aux kits électoraux. Mais sans réussir à retourner la situation.
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