Le Fond monétaire internationale (Fmi) a fait un constant décevant des chiffres de croissance 2013 du Sénégal. Il s'est fondé sur les statistiques produites par les autorités Sénégalais, estimant que les taux n'est pas celui espéré. La croissance est au deçà des attentes. « Les premières estimations sont que le taux de croissance du Pib a été plus faible que prévu en 2013. C'est environ 3,5 au lieu de 4 % attendus. Selon le Fmi, ce résultat ne reflète que « le faible niveau de la production agricole dans le secteur agricole, mais aussi des difficultés dans les industries extractives ».
La situation économique ne semble guère plus réjouissante du côté des Btp. « En revanche, l'activité a été particulièrement dynamique dans les secteurs de la télécommunication », se réjouit la Fmi. Pour l'année 2014, l'institution monétaire internationale prévoit une croissance de 4,9 %. Cette prévision pourra être atteinte grâce à un environnement international favorable, l'amélioration de la situation sociopolitique dans la sous-région et un fort rebond de la production agricole, du secteur minier et industriel.
En ce qui concerne les moins-valus, le Fmi a dressé une situation très contraignante pour la Société Nationale d'Electricité (SENELEC). « La situation financière de la SENELEC qui a accumulé beaucoup d'arriérés fiscaux et des pertes de recettes de TVA liées à la suppression du précompte par les agences publiques dans le contexte de la réforme du code général des impôts », selon l'institution monétaire. La mise en œuvre de la reforme a pris du retard et certaines mesures structurelles du programme qui n'ont pas été respectées en sont les véritables causes.
La situation économique ne semble guère plus réjouissante du côté des Btp. « En revanche, l'activité a été particulièrement dynamique dans les secteurs de la télécommunication », se réjouit la Fmi. Pour l'année 2014, l'institution monétaire internationale prévoit une croissance de 4,9 %. Cette prévision pourra être atteinte grâce à un environnement international favorable, l'amélioration de la situation sociopolitique dans la sous-région et un fort rebond de la production agricole, du secteur minier et industriel.
En ce qui concerne les moins-valus, le Fmi a dressé une situation très contraignante pour la Société Nationale d'Electricité (SENELEC). « La situation financière de la SENELEC qui a accumulé beaucoup d'arriérés fiscaux et des pertes de recettes de TVA liées à la suppression du précompte par les agences publiques dans le contexte de la réforme du code général des impôts », selon l'institution monétaire. La mise en œuvre de la reforme a pris du retard et certaines mesures structurelles du programme qui n'ont pas été respectées en sont les véritables causes.
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