La culture peut être un puissant et poignant levier de coopération culturelle entre les peuples. C’est sans doute ce qu’a compris les deux structures, Osmose culture du Cameron et Adafest du Sénégal pour unir leur savoir-faire dans ce domaine. C’est ainsi que pendant une semaine l’Association Osmose culture du Cameroun et Adafest ont organisé des panels portant sur la préservation de l’environnement avec comme thème phare : « La portée écologique de l’art africain ». Autrement dit comment utiliser l’art pour sensibiliser les peuples d’Afrique sur l’impérieuse nécessité de préserver l’environnement.
Pour le président de Osmose culture, Nana Delphin Neo « le choix du thème de cette rencontre d’échange culturel entre camerounais et sénégalais se justifie de manière logique. Et, si pour cet événement nous avons choisi le thème « la portée écologique de l’art africain », c’est pour alerter nos autorités et les populations africaines sur la situation et le niveau de dégradation de l’environnement. Prenons par exemple, le Lac Tchad, qui s’est asséché à plus de 80% du seul fait de l’activité humaine. Pourtant c’est de là-bas qu’est apparu le premier homme Toumai. Donc nous devons sensibiliser les populations sur les valeurs africaines, il y a celles qui sont liées à la préservation de l’environnement », a précise le Président d’Osmose culture.
Selon, toujours Nana Delphin Neo « la culture est un levier très puissant et très poignant. C’est pourquoi, nous utilisons l’art et la culture pour sensibiliser les personnes sur ces questions liées à la préservation de l’environnement », a-t-il déclaré.
Le panel qui s'est tenu ce jeudi à l'Institut Goethe de Dakar a enregistré la présence du Consulat général de la Hongrie M. Yves MARLIERES. Sa communication a porté sur la restitution des objets d'arts africains qui meublent les musées d'arts européens. Et, pour se faire il invite à une prise de conscience d'abord de la part non seulement des gouvernements mais aussi des populations qui ont perdu une bonne partie de leur patrimoine culturelle matérielle.
Pour le président de Osmose culture, Nana Delphin Neo « le choix du thème de cette rencontre d’échange culturel entre camerounais et sénégalais se justifie de manière logique. Et, si pour cet événement nous avons choisi le thème « la portée écologique de l’art africain », c’est pour alerter nos autorités et les populations africaines sur la situation et le niveau de dégradation de l’environnement. Prenons par exemple, le Lac Tchad, qui s’est asséché à plus de 80% du seul fait de l’activité humaine. Pourtant c’est de là-bas qu’est apparu le premier homme Toumai. Donc nous devons sensibiliser les populations sur les valeurs africaines, il y a celles qui sont liées à la préservation de l’environnement », a précise le Président d’Osmose culture.
Selon, toujours Nana Delphin Neo « la culture est un levier très puissant et très poignant. C’est pourquoi, nous utilisons l’art et la culture pour sensibiliser les personnes sur ces questions liées à la préservation de l’environnement », a-t-il déclaré.
Le panel qui s'est tenu ce jeudi à l'Institut Goethe de Dakar a enregistré la présence du Consulat général de la Hongrie M. Yves MARLIERES. Sa communication a porté sur la restitution des objets d'arts africains qui meublent les musées d'arts européens. Et, pour se faire il invite à une prise de conscience d'abord de la part non seulement des gouvernements mais aussi des populations qui ont perdu une bonne partie de leur patrimoine culturelle matérielle.
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