Pape Diop n’arrive pas à digérer sa défénestration du poste de 8e vice-président de l’Assemblée nationale. Le leader de Bokk Gis Gis qui était à Touba ce mercredi en prélude du Grand Magal qui y sera célébré le 28 octobre en a profité pour annoncer que l’affaire est désormais pendante devant la justice.
«Maintenant l’affaire est pendante devant la justice. Nous attendons de voir si la justice va leur (Benno bokk yakaar) donner raison ou non», a-t-il déclaré. A l’en croire, la majorité parlementaire a instrumentalisé les femmes afin de les pousser à réclamer ce poste. Mais en réalité, relève-t-il, c’est lui personnellement qui était visé.
Très en verve, l’ancien président de l’Assemblée nationale soutient que s’il y a des parlementaires qui ont violé la loi, ce sont ses collègues de Benno bokk yakaar (Bby) puisque ce sont ces derniers qui ont choisi Moustapha Niasse comme président de l’hémicycle et Moustapha Cissé Lo comme 1e Vice-président en lieu et place d’une femme.
Mais, poursuit-il, s’ils ont procédé ainsi, c’est parce qu’ils savaient que si une femme était élue 1e vice-présidente, lui Pape Diop ne verrait pas son poste lui-échapper. Ce que le camp d’en face voulait résolument éviter.
Cependant, l’ancien maire de Dakar prévient que ce combat est un combat de principe et qu’il ne s’agrippait pas à ce poste.
«Maintenant l’affaire est pendante devant la justice. Nous attendons de voir si la justice va leur (Benno bokk yakaar) donner raison ou non», a-t-il déclaré. A l’en croire, la majorité parlementaire a instrumentalisé les femmes afin de les pousser à réclamer ce poste. Mais en réalité, relève-t-il, c’est lui personnellement qui était visé.
Très en verve, l’ancien président de l’Assemblée nationale soutient que s’il y a des parlementaires qui ont violé la loi, ce sont ses collègues de Benno bokk yakaar (Bby) puisque ce sont ces derniers qui ont choisi Moustapha Niasse comme président de l’hémicycle et Moustapha Cissé Lo comme 1e Vice-président en lieu et place d’une femme.
Mais, poursuit-il, s’ils ont procédé ainsi, c’est parce qu’ils savaient que si une femme était élue 1e vice-présidente, lui Pape Diop ne verrait pas son poste lui-échapper. Ce que le camp d’en face voulait résolument éviter.
Cependant, l’ancien maire de Dakar prévient que ce combat est un combat de principe et qu’il ne s’agrippait pas à ce poste.
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