En conférence de presse ce lundi 27 janvier 2020, l’Union des Transporteurs routiers du Sénégal, en collaboration avec ceux du Mali, a déclaré avoir déposé une plate-forme revendicative sur la table du gouvernement sénégalais. Ce, pour dénoncer les blocages dans leur secteur. Ils ont menacé d'aller en grève le 10 février 2020, si les autorités ne donnent pas de suite à leurs revendications.
« Nous avons prévu d’aller en grève le 10 février s’il n’y a pas de solution à nos revendications. Le premier point c’est la réduction des postes de contrôle. Parce que nous avons jugé qu’il y a trop de postes de contrôle qui ne sont pas fiables. Il n’y a pas du sérieux dans ça. Nous avons demandé aux maires des grandes villes de créer des aires de repos. Nous disons non pour l’application du permis à point puisque la référence, c’est la France. Parce que nous n’avons pas les mêmes réalités avec la France », a indiqué Gora Khouma, président de l’Union des Transporteurs Routiers du Sénégal.
Selon lui, « il y a un décret de tarif qui fixe les amandes forfaitaires. Ce n’est pas le policier ou le gendarme qui dicte l’amende forfaitaire qu’il veut ». Poursuivant ces propos, il joute : « Nous exigeons le rétablissement de la tolérance de 20% sur le PTAC, l'abandon définitif de la taxe de 4 000 F CFA par tonne pour le transport national et 12 000 F CFA la tonne pour le transport international, l'abandon du délestage de produit impossible en ce qui concerne l'hydrocarbure, la non répercussion de la nouvelle taxe portuaire aux transporteurs, le règlement de la dette pétrolière empêchant certains transporteurs d'être payés ».
« Nous avons prévu d’aller en grève le 10 février s’il n’y a pas de solution à nos revendications. Le premier point c’est la réduction des postes de contrôle. Parce que nous avons jugé qu’il y a trop de postes de contrôle qui ne sont pas fiables. Il n’y a pas du sérieux dans ça. Nous avons demandé aux maires des grandes villes de créer des aires de repos. Nous disons non pour l’application du permis à point puisque la référence, c’est la France. Parce que nous n’avons pas les mêmes réalités avec la France », a indiqué Gora Khouma, président de l’Union des Transporteurs Routiers du Sénégal.
Selon lui, « il y a un décret de tarif qui fixe les amandes forfaitaires. Ce n’est pas le policier ou le gendarme qui dicte l’amende forfaitaire qu’il veut ». Poursuivant ces propos, il joute : « Nous exigeons le rétablissement de la tolérance de 20% sur le PTAC, l'abandon définitif de la taxe de 4 000 F CFA par tonne pour le transport national et 12 000 F CFA la tonne pour le transport international, l'abandon du délestage de produit impossible en ce qui concerne l'hydrocarbure, la non répercussion de la nouvelle taxe portuaire aux transporteurs, le règlement de la dette pétrolière empêchant certains transporteurs d'être payés ».
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