Les deux étudiants ont été arrêtés le 14 juin dernier par la police lors d'une assemblée générale sur le campus de l'université de Lomé.
Ils ont été jugés suite aux manifestations survenues dans l'enceinte de l'université entre le 14 et le 16 juin derniers.
Trouble à l'ordre public aggravé et destruction de biens telles sont les charges retenues contre eux.
Le verdict a suscité des réactions de désapprobation et de déception chez les quelques personnes autorisées à assister au procès dans un palais de justice placé sous haute surveillance policière.
Un premier jugement rendu la semaine dernière a conduit à la libération de 7 autres étudiants également arrêtés et détenus dans la même affaire.
Les avocats de la défense dénoncent une justice à double vitesse et entendent faire appel de la décision.
Ils ont été jugés suite aux manifestations survenues dans l'enceinte de l'université entre le 14 et le 16 juin derniers.
Trouble à l'ordre public aggravé et destruction de biens telles sont les charges retenues contre eux.
Le verdict a suscité des réactions de désapprobation et de déception chez les quelques personnes autorisées à assister au procès dans un palais de justice placé sous haute surveillance policière.
Un premier jugement rendu la semaine dernière a conduit à la libération de 7 autres étudiants également arrêtés et détenus dans la même affaire.
Les avocats de la défense dénoncent une justice à double vitesse et entendent faire appel de la décision.
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