En déclinant la rencontre avec le Premier ministre malien, Soumaïla Cissé, chef de file de l’opposition et candidat malheureux au second tour de la dernière présidentielle, avance une principale raison.
Pour lui, tout dialogue politique au Mali doit être d’abord focalisé sur la question de la légitimité des institutions, notamment la première, c’est-à-dire le président de la République. En clair, Soumaïla Cissé ne reconnaît toujours pas la réélection du président Keïta.
En revanche, outre les partis de la majorité, c’est avec chaleur que d’autres opposants maliens, ex-candidats à la présidentielle, ont reçu le Premier ministre. C’est le cas de Choguel Maïga, du général Moussa Sinko Coulibaly ou encore de Maître Mountaga Tall. Ce dernier explique : « Nous l’avons reçu pour faire passer un message. Il faut sortir de la crise, un dialogue inclusif où tout le monde aura sa place. »
De son côté, à ses interlocuteurs, Soumeylou Boubèye Maïga a livré plusieurs messages. « Après l’élection présidentielle, il faut se tourner vers l’avenir », estime-t-il. Le Premier ministre entreprend donc une démarche d’écoute sur plusieurs sujets. Telle que la conférence sociale prévue au mois de janvier à Bamako, ou la réorganisation administrative encore appelée le « nouveau découpage territorial ».
Pour lui, tout dialogue politique au Mali doit être d’abord focalisé sur la question de la légitimité des institutions, notamment la première, c’est-à-dire le président de la République. En clair, Soumaïla Cissé ne reconnaît toujours pas la réélection du président Keïta.
En revanche, outre les partis de la majorité, c’est avec chaleur que d’autres opposants maliens, ex-candidats à la présidentielle, ont reçu le Premier ministre. C’est le cas de Choguel Maïga, du général Moussa Sinko Coulibaly ou encore de Maître Mountaga Tall. Ce dernier explique : « Nous l’avons reçu pour faire passer un message. Il faut sortir de la crise, un dialogue inclusif où tout le monde aura sa place. »
De son côté, à ses interlocuteurs, Soumeylou Boubèye Maïga a livré plusieurs messages. « Après l’élection présidentielle, il faut se tourner vers l’avenir », estime-t-il. Le Premier ministre entreprend donc une démarche d’écoute sur plusieurs sujets. Telle que la conférence sociale prévue au mois de janvier à Bamako, ou la réorganisation administrative encore appelée le « nouveau découpage territorial ».
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