Le face-à-face a bel et bien eu lieu entre le responsable libéral et le juge des flagrants délits. Mamadou Lamine Massaly a finalement bénéficié de la liberté provisoire. Le parquet a demandé le renvoi du procés en évoquant le manque d’un élément essentiel. Il s’agit du Cd qui incrimine l’ex-prévenu. Il a aussi évoqué l’absence de l’Agent Judiciaire de l’Etat (AJE). Les avocats de la défense composés de Souleyemane Ndené Ndiaye, El Hadji Amadou Sall, Adama Fall, Me Kane entre autres, ont plaidé à tour de rôle, pour la tenue du procès.
L’absence de partie civile faisant partie des motifs invoqués pour le renvoi, pour Souleyemane Ndéné Ndiaye, ce n’est pas dans les prérogatives de l’état de constituer une partie civile. Me Bamba Cissé s’intéressant lui, à la demande du procureur qui selon lui a dit que « l’AJE devrait se constituer partie civile ».Me El Hadji Amadou Sall abonde dans le même sens. Ce dernier a estimé que Mamadou Lamine Massaly est en train de subir une punition. « Le parquet parle au nom de l’Etat et dilligente une enquête, nous n’avons pas le droit dans cette institution de punir mais de juger et de dire le droit. Dans cette affaire on assiste à une procédure de vengeance », a-t-il soutenu.
Pour sa part, Me Kane d’indiquer que le parquet a attendu que le juge retienne l’affaire pour demander le renvoi. A cet effet, il plaide la tenue du procès car le motif évoqué ne se justifie pas. Après avoir écouté la plaidoirie, le juge des flagrants délits a prononcé le renvoi en se basant sur l’absence d’élément essentiel relevé par le parquet notamment le fameux CD qui incrimine Massaly. Sur ces entrefaits, Me Adama Fall a demandé la liberté provisoire en se basant sur l’article 130 du code de procédure pénale. Il a précisé par ailleurs que les craintes du parquet ne sont pas fondées car « Il n’y aura pas de trouble à l’ordre public».
Le parquet s’en est reporté à la sagesse du tribunal tout en évoquant un risque de trouble à l’ordre public. Mais les avocats de Mamadou Lamine Massaly ont finalement eu gain de cause, il a bénéficié de la liberté provisoire. La prochaine manche est pour ce 10 mars en attendant que le juge visionne le fameux CD. Le responsable du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) est accusé de diffamation contre un corp constitué de la gendarmerie, outrage à agent public dans l’exercice de ses fonctions, violence et voie de fait.
L’absence de partie civile faisant partie des motifs invoqués pour le renvoi, pour Souleyemane Ndéné Ndiaye, ce n’est pas dans les prérogatives de l’état de constituer une partie civile. Me Bamba Cissé s’intéressant lui, à la demande du procureur qui selon lui a dit que « l’AJE devrait se constituer partie civile ».Me El Hadji Amadou Sall abonde dans le même sens. Ce dernier a estimé que Mamadou Lamine Massaly est en train de subir une punition. « Le parquet parle au nom de l’Etat et dilligente une enquête, nous n’avons pas le droit dans cette institution de punir mais de juger et de dire le droit. Dans cette affaire on assiste à une procédure de vengeance », a-t-il soutenu.
Pour sa part, Me Kane d’indiquer que le parquet a attendu que le juge retienne l’affaire pour demander le renvoi. A cet effet, il plaide la tenue du procès car le motif évoqué ne se justifie pas. Après avoir écouté la plaidoirie, le juge des flagrants délits a prononcé le renvoi en se basant sur l’absence d’élément essentiel relevé par le parquet notamment le fameux CD qui incrimine Massaly. Sur ces entrefaits, Me Adama Fall a demandé la liberté provisoire en se basant sur l’article 130 du code de procédure pénale. Il a précisé par ailleurs que les craintes du parquet ne sont pas fondées car « Il n’y aura pas de trouble à l’ordre public».
Le parquet s’en est reporté à la sagesse du tribunal tout en évoquant un risque de trouble à l’ordre public. Mais les avocats de Mamadou Lamine Massaly ont finalement eu gain de cause, il a bénéficié de la liberté provisoire. La prochaine manche est pour ce 10 mars en attendant que le juge visionne le fameux CD. Le responsable du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) est accusé de diffamation contre un corp constitué de la gendarmerie, outrage à agent public dans l’exercice de ses fonctions, violence et voie de fait.
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