Chose promise, chose due. Trois jours après son investiture, Donald Trump a pris, lundi 23 janvier, une décision hautement symbolique en signant une ordonnance qui entérine le retrait des Etats-Unis du traité de libre-échange transpacifique (TPP). Par ce geste, le président américain affirme sa volonté de remettre à plat les relations commerciales du pays avec ses principaux partenaires accusés d’exposer les salariés américains aux quatre vents de la mondialisation, un thème qu’il n’a cessé de marteler tout au long de sa campagne électorale.
« Ce que nous venons de faire est une très bonne chose pour l’ouvrier américain », a déclaré M. Trump en signant l’ordonnance dans le bureau ovale de la Maison Blanche. Il s’agit d’un revirement radical de la politique commerciale des Etats-Unis, qui n’ont cessé, ces dernières décennies, d’encourager la levée des barrières douanières pour stimuler les échanges avec le reste de la planète.
Le retrait américain du TPP, accord qualifié par M. Trump de « désastre potentiel », constitue la première illustration du discours d’intronisation du président américain, qui a promis d’appliquer son nouveau mantra : « L’Amérique d’abord », consistant à « acheter américain et embaucher américain ». « Nous devons protéger nos frontières des ravages que les autres pays causent à nos produits, volant nos entreprises et détruisant nos emplois », a-t-il proclamé vendredi 20 janvier, ajoutant que le fait de protéger l’économie américaine « conduirait à une grande prospérité et une grande...
« Ce que nous venons de faire est une très bonne chose pour l’ouvrier américain », a déclaré M. Trump en signant l’ordonnance dans le bureau ovale de la Maison Blanche. Il s’agit d’un revirement radical de la politique commerciale des Etats-Unis, qui n’ont cessé, ces dernières décennies, d’encourager la levée des barrières douanières pour stimuler les échanges avec le reste de la planète.
Le retrait américain du TPP, accord qualifié par M. Trump de « désastre potentiel », constitue la première illustration du discours d’intronisation du président américain, qui a promis d’appliquer son nouveau mantra : « L’Amérique d’abord », consistant à « acheter américain et embaucher américain ». « Nous devons protéger nos frontières des ravages que les autres pays causent à nos produits, volant nos entreprises et détruisant nos emplois », a-t-il proclamé vendredi 20 janvier, ajoutant que le fait de protéger l’économie américaine « conduirait à une grande prospérité et une grande...
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