Le Sénégal fait de son mieux pour disposer de vaccins contre la Covid-19 en mars 2021 et espère que les services compétents pourront conduire les études devant apporter les garanties nécessaires à leur utilisation, a assuré le docteur Marie Khémesse Ngom Ndiaye, la directrice générale de la santé publique.
« Ce qu’on évite, c’est de dire qu’il y a urgence et de tâter partout. Nous avons des institutions de contrôle, de régulation et de réglementation, et quelle que soit l’urgence, on va aller vite certes, mais il y a un contrôle qui sera fait par la direction de la pharmacie et du médicament », a-t-elle déclaré dans un entretien avec l’APS.
Le ministère de la Santé et de l’Action sociale, à travers la direction de la prévention, a entamé des « pourparlers » pour disposer de vaccins d’ici à mars 2021, selon Mme Ndiaye.
Le Sénégal a une longue l’expérience en matière de gestion des épidémies et d’organisation des grandes campagnes de vaccination, avec une trentaine d’antigènes dans le Programme élargi de vaccination (PEV), a-t-elle souligné.
Marie Khémesse Ngom Ndiaye rappelle que le vaccin contre le cancer du col de l’utérus, par exemple, a été introduit dans le PEV au profit des filles.
« Nous savons comment introduire un vaccin dans le système. C’est pourquoi dès qu’on a fait état de vaccin contre le Covid-19, on a su ce qu’il fallait faire avec les comités de coordination inter-agences, et nous travaillons en étroite collaboration avec les partenaires (…) pour voir comment s’approvisionner en doses de vaccins » a-t-elle expliqué.
La mobilisation des fonds nécessaires à l’acquisition de vaccins est effective, grâce au ministère des Finances et aux partenaires du Sénégal, a assuré Mme Ndiaye.
« Ce qu’on évite, c’est de dire qu’il y a urgence et de tâter partout. Nous avons des institutions de contrôle, de régulation et de réglementation, et quelle que soit l’urgence, on va aller vite certes, mais il y a un contrôle qui sera fait par la direction de la pharmacie et du médicament », a-t-elle déclaré dans un entretien avec l’APS.
Le ministère de la Santé et de l’Action sociale, à travers la direction de la prévention, a entamé des « pourparlers » pour disposer de vaccins d’ici à mars 2021, selon Mme Ndiaye.
Le Sénégal a une longue l’expérience en matière de gestion des épidémies et d’organisation des grandes campagnes de vaccination, avec une trentaine d’antigènes dans le Programme élargi de vaccination (PEV), a-t-elle souligné.
Marie Khémesse Ngom Ndiaye rappelle que le vaccin contre le cancer du col de l’utérus, par exemple, a été introduit dans le PEV au profit des filles.
« Nous savons comment introduire un vaccin dans le système. C’est pourquoi dès qu’on a fait état de vaccin contre le Covid-19, on a su ce qu’il fallait faire avec les comités de coordination inter-agences, et nous travaillons en étroite collaboration avec les partenaires (…) pour voir comment s’approvisionner en doses de vaccins » a-t-elle expliqué.
La mobilisation des fonds nécessaires à l’acquisition de vaccins est effective, grâce au ministère des Finances et aux partenaires du Sénégal, a assuré Mme Ndiaye.
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