Tout a commencé avec les propos de Faiçal Krikshi, le n°2 de la coalition menée par Mahmoud Jibril, composée entre autres de partis considérés comme « libéraux ». Celui-ci déclare que la formation remporte un succès dans presque toutes les circonscriptions libyennes. Dans la foulée, Justice et construction, un des principaux partis islamistes, avoue aussi s'attendre à une courte avance de leurs adversaires. Alors que la Commission électorale n'a pas achevé le décompte des votes.
Face à la polémique, Mahmoud Jibril a tenu une conférence de presse démentant les propos qu'on prête à sa formation et appelant à attendre les résultats définitifs.
« Toutes les formations politiques sont à pied d'égalité pour le moment, a-t-il déclaré, et nous les appelons de nouveau, que ce soit avant ou après la proclamation des résultats, à s'asseoir à la table des discussions. Car la Libye a besoin de tous. Elle ne pourra se relever avec les efforts d'un seul groupe, d'une seule personnalité ou d'un seul camp. »
Des propos qui sont ceux d'un chef d’État ou de gouvernement. Mahmoud Jibril s'il obtient la majorité dans la prochaine assemblée pourrait à nouveau le devenir. Il aurait alors intérêt à ne pas se mettre à dos ses principaux adversaires les islamistes.
Joint par RFI, un membre du directoire du parti Justice et construction explique pourquoi, selon lui, rien n'est joué. Il appelle à la retenue dans l'attente des résultats.
Source: RFI
Face à la polémique, Mahmoud Jibril a tenu une conférence de presse démentant les propos qu'on prête à sa formation et appelant à attendre les résultats définitifs.
« Toutes les formations politiques sont à pied d'égalité pour le moment, a-t-il déclaré, et nous les appelons de nouveau, que ce soit avant ou après la proclamation des résultats, à s'asseoir à la table des discussions. Car la Libye a besoin de tous. Elle ne pourra se relever avec les efforts d'un seul groupe, d'une seule personnalité ou d'un seul camp. »
Des propos qui sont ceux d'un chef d’État ou de gouvernement. Mahmoud Jibril s'il obtient la majorité dans la prochaine assemblée pourrait à nouveau le devenir. Il aurait alors intérêt à ne pas se mettre à dos ses principaux adversaires les islamistes.
Joint par RFI, un membre du directoire du parti Justice et construction explique pourquoi, selon lui, rien n'est joué. Il appelle à la retenue dans l'attente des résultats.
Source: RFI
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