Mariam Sidibé sort de sa salle de classe, elle est professeur d’anglais dans un institut privé. En parallèle, l’entrepreneuse cherche des financements pour son projet, Kalan, une plateforme d'e-learning, accessible 7/7 sur smartphone ou sur ordinateur. « Pendant des mois, c'était juste une idée de projet, et depuis le mois de juillet, ça s'est matérialisé en ce que j'appelle une start-up. Malheureusement, les start-up au Mali n'ont pas un statut particulier que ce soit sur le plan fiscal ou sur le plan économique. Ce sont des coûts qui sont liés à une entreprise mais que nous ne pouvons pas forcément assumer en tant que jeune start-up. »
Ikalook, boutique de prêt-à-porter, a elle dépassé le statut de start-up. Sa fondatrice est aujourd’hui à la tête d’une entreprise fleurissante. Autodidacte, jeune mariée et jeune maman, Namissa Sow s’est battue pour imposer son choix d’entrepreneuriat à sa famille. « Rien que laisser tomber notre carrière qui serait peut-être un petit plus traditionnelle pour ma famille et ma mère, c'était très, très difficile. Je pense que c'était l'étape la plus difficile pour moi de pouvoir lui montrer que ce que j'ai envie de faire, c'est quelque chose qui a du potentiel, c'est pas juste le tailleur du coin. Il faut se battre et essayer de réaliser ce qu'on a au fond de soi. »
Trois ans après sa création, la société emploie 14 personnes, dont la majorité est constituée de femmes.
Ikalook, boutique de prêt-à-porter, a elle dépassé le statut de start-up. Sa fondatrice est aujourd’hui à la tête d’une entreprise fleurissante. Autodidacte, jeune mariée et jeune maman, Namissa Sow s’est battue pour imposer son choix d’entrepreneuriat à sa famille. « Rien que laisser tomber notre carrière qui serait peut-être un petit plus traditionnelle pour ma famille et ma mère, c'était très, très difficile. Je pense que c'était l'étape la plus difficile pour moi de pouvoir lui montrer que ce que j'ai envie de faire, c'est quelque chose qui a du potentiel, c'est pas juste le tailleur du coin. Il faut se battre et essayer de réaliser ce qu'on a au fond de soi. »
Trois ans après sa création, la société emploie 14 personnes, dont la majorité est constituée de femmes.
Autres articles
-
Tchad : le Conseil Constitutionnel valide la victoire de Mahamat Déby
-
En Côte d'Ivoire, Laurent Gbagbo officiellement investi à la présidentielle par son parti
-
Présidentielle en Mauritanie: l’ex-chef de l’État Ould Abdel Aziz, condamné en 2023, a déposé sa candidature
-
Madagascar: l'Église catholique dénonce la loi autorisant la castration des pédophiles
-
Mali: «l'armée ne doit pas justifier ses exactions par celles des terroristes», selon Amnesty