La Commission nationale pour la lutte contre le génocide (CNLG), qui a rendu public le document, soutient que ces "acteurs français ont été impliqués dans le génocide à la fois comme auteurs et complices."
Parmi les officiers supérieurs français accusés d'avoir joué un rôle dans le génocide de 1994 au Rwanda, figure le général Jacques Lanxade. Au moment des faits, le général Lanxade était le chef d'État-Major des armées françaises (1991 à 1995).
Kigali considère que l'opération française Turquoise autorisée par les Nations Unies alors déployée au Rwanda, était une "véritable force d'occupation impliquée dans des crimes graves", soutenus et occultés par la France.
La Commission nationale pour la lutte contre le génocide a publié sur son site, les noms ainsi que les agissements supposés de ces 22 hauts gradés de l'armée française.
La CNLG estime que les forces françaises ne "veulent pas que leurs actes soient connus malgré leurs preuves".
Début octobre dernier, la justice française a rouvert l'enquête sur l'attentat contre l'avion du président Juvenal Habyarimana, considéré par les experts comme étant l'élément déclencheur du génocide de 1994 dans lequel 800 mille personnes ont été tuées selon l'Onu.
Parmi les officiers supérieurs français accusés d'avoir joué un rôle dans le génocide de 1994 au Rwanda, figure le général Jacques Lanxade. Au moment des faits, le général Lanxade était le chef d'État-Major des armées françaises (1991 à 1995).
Kigali considère que l'opération française Turquoise autorisée par les Nations Unies alors déployée au Rwanda, était une "véritable force d'occupation impliquée dans des crimes graves", soutenus et occultés par la France.
La Commission nationale pour la lutte contre le génocide a publié sur son site, les noms ainsi que les agissements supposés de ces 22 hauts gradés de l'armée française.
La CNLG estime que les forces françaises ne "veulent pas que leurs actes soient connus malgré leurs preuves".
Début octobre dernier, la justice française a rouvert l'enquête sur l'attentat contre l'avion du président Juvenal Habyarimana, considéré par les experts comme étant l'élément déclencheur du génocide de 1994 dans lequel 800 mille personnes ont été tuées selon l'Onu.
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