« Je peux dire que la grève est suivie à 95 %. Actuellement à l’heure où nous sommes, nous avons des informations au niveau des régions et là c’est la totalité. A Dakar, vous savez c’est la capitale. C’est vrai que nous sommes le syndicat le plus représentatif mais personne ne peut faire l’unanimité. A Dakar Dem Dikk et les bus Tata, il y a des travailleurs qui ne sont pas affiliés à notre syndicat, c’est normal. Sur le permis à point, c’est vrai que le secteur des transports routiers est un secteur important et tout développement d’un pays passe impérativement par le transport mais nous disons que nous ne sommes pas encore à ce point. Ce système est appliqué dans les pays développés mais actuellement au Sénégal, nous ne pouvons pas appliquer ce système qui a été initié uniquement dans le but d’éradiquer les accidents alors que pour nous, il ne peut pas le faire. Pour éradiquer les accidents, c’est organiser une assise nationale sur le transport qui va regrouper tout le monde qui gravite autour du secteur. De ce fait, on pourra faire un diagnostic global de toutes les causes des accidents. Certes les chauffeurs en font partie mais l’Etat aussi est responsable », lâche le secrétaire administratif du syndicat national des transporteurs affiliés à la Centrale nationale des travailleurs du Sénégal (CNTS) qui annonce pire.
« On est au premier stade de 48 heures mais il y a d’autres plans d’action qui vont suivre que nous n'allons pas dévoiler pour le moment », dit-il sur les ondes de la RFM.
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