A 60 jours du scrutin rien n’est encore fait. Le matériel électronique pour le recensement n’est toujours pas mis en place et peu d’informations filtrent à propos des fonds promis par la communauté internationale, l’Union européenne, la Cédéao et l’Uemoa, notamment.
Le Pnud auquel est confiée la gestion du fonds fiduciaire entretient un silence radio. Du coup, le doute s’installe à propos du respect de la date et de l’organisation des scrutins du 18 novembre, comme initialement prévu.
Face à cette inquiétude grandissante, la Commission nationale des élections (CEN) - l’équivalent de la Céni - a suggéré qu’un nouveau chronogramme avec une nouvelle date des élections soit établi.
« Il est urgent de mettre en place un nouveau chronogramme qui respecte les délais prévus par la Constitution. La CNE réaffirme sa détermination à collaborer avec le gouvernement et toute autre entité qui s’intéresse à ce processus électoral pour rechercher des solutions capables d’établir un équilibre et un consensus pour une élection juste et transparente », a tenu à souligner Felizberta Moura Vaz, porte-parole de la CNE.
Les législatives du 18 novembre doivent permettre de dénouer la crise politique que traverse le pays depuis l’été 2015. Pour Domingos Simões Pereira, chef du Parti africain pour l’Indépendance de la Guinée et du Cap-Vert, parti au pouvoir, la tenue des élections à la date indiquée doit être une exigence de tous les Bissau-Guinéens.
Le Pnud auquel est confiée la gestion du fonds fiduciaire entretient un silence radio. Du coup, le doute s’installe à propos du respect de la date et de l’organisation des scrutins du 18 novembre, comme initialement prévu.
Face à cette inquiétude grandissante, la Commission nationale des élections (CEN) - l’équivalent de la Céni - a suggéré qu’un nouveau chronogramme avec une nouvelle date des élections soit établi.
« Il est urgent de mettre en place un nouveau chronogramme qui respecte les délais prévus par la Constitution. La CNE réaffirme sa détermination à collaborer avec le gouvernement et toute autre entité qui s’intéresse à ce processus électoral pour rechercher des solutions capables d’établir un équilibre et un consensus pour une élection juste et transparente », a tenu à souligner Felizberta Moura Vaz, porte-parole de la CNE.
Les législatives du 18 novembre doivent permettre de dénouer la crise politique que traverse le pays depuis l’été 2015. Pour Domingos Simões Pereira, chef du Parti africain pour l’Indépendance de la Guinée et du Cap-Vert, parti au pouvoir, la tenue des élections à la date indiquée doit être une exigence de tous les Bissau-Guinéens.
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