Le voile doit être enfin levé sur ce massacre, clament ces organisations que sont FIDH, Human Rights Watch (HRW), l’Organisation guinéenne de défense des droits de l’Homme et du citoyen (OGDH), l’Association des victimes, parents et amis du 28 septembre (AVIPA), Les mêmes droits pour tous (MDT), et la Coordination des organisations de défense des droits de l’Homme (CODDH).
Alors que Conakry se rémémore ce mercredi ces événements douloureux au cours desquels “150 manifestants pacifiques ont été tués” et “plus de 100 femmes violées” au stade de Conakry le 28 septembre 2009, ces organisations veulent que l’enquête ouverte en février 2010 soit enfin clôturée et que justice soit rendue aux victimes.
Sept ans après le lundi noir du 28 septembre 2009, le traumatisme reste enfoui dans l’esprit des Guinéens. Ce jour-là, des manifestants opposés au régime de Dadis Camara avaient investi le stade de Conakry pour rappeler au chef putschiste sa promesse de ne pas se présenter à la présidentielle.
Des militaires avaient alors ouvert le feu, tuant 157 personnes, en blessant d’autres. Une centaine de femmes auraient quant à elle été réduites à l’esclavage sexuel durant des semaines, selon des rapports d’ONG de défense des droits humains.
Des événements pour lesquels la Cour pénale internationale (CPI) a ouvert dès octobre 2009, un examen préliminaire. Mais étant une juridiction de dernier recours, elle ne peut intervenir que lorsque les tribunaux nationaux sont incapables ou refusent d’enquêter et de poursuivre les cas qui relèvent de leur compétence.
Alors que Conakry se rémémore ce mercredi ces événements douloureux au cours desquels “150 manifestants pacifiques ont été tués” et “plus de 100 femmes violées” au stade de Conakry le 28 septembre 2009, ces organisations veulent que l’enquête ouverte en février 2010 soit enfin clôturée et que justice soit rendue aux victimes.
Sept ans après le lundi noir du 28 septembre 2009, le traumatisme reste enfoui dans l’esprit des Guinéens. Ce jour-là, des manifestants opposés au régime de Dadis Camara avaient investi le stade de Conakry pour rappeler au chef putschiste sa promesse de ne pas se présenter à la présidentielle.
Des militaires avaient alors ouvert le feu, tuant 157 personnes, en blessant d’autres. Une centaine de femmes auraient quant à elle été réduites à l’esclavage sexuel durant des semaines, selon des rapports d’ONG de défense des droits humains.
Des événements pour lesquels la Cour pénale internationale (CPI) a ouvert dès octobre 2009, un examen préliminaire. Mais étant une juridiction de dernier recours, elle ne peut intervenir que lorsque les tribunaux nationaux sont incapables ou refusent d’enquêter et de poursuivre les cas qui relèvent de leur compétence.
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