Invité du journal de 12 heures de la Rts (Radiodiffusion Télévision Sénégalaise) ce jeudi, le ministre de la Santé a fait le point de la situation actuelle de la pandémie. Selon Abdoulaye Diouf Sarr « la situation actuelle peut se caractériser par une augmentation exceptionnelle du nombre de cas » qui mérite « une réflexion ».
« Parce que c’est la première fois depuis le début de la pandémie, que le pays a atteint la barre des 356 cas et aujourd’hui (jeudi) 354 cas. Ce qui veut dire de manière globale, malgré les espoirs qu’on a eu ces derniers temps, on avait une courbe décroissante en un moment et soudain la courbe se redresse et de manière assez raide », s'est-il désolé.
Avant de souligner: « cela n’est pas propre au Sénégal. C’est quand même une tendance globale. Mais, il faut se rendre à l’évidence pour dire que c’est un tout petit peu le comportement de ce virus qui fait qu’il faut véritablement s’inscrire dans la permanence de la riposte ».
Quelle riposte face à cette hausse ? Le ministre et son équipe ne comptent pas se laisser faire. A en croire Abdoulaye Diouf Sarr « face à une telle situation, nous avons estimé qu’il était extrêmement important d’entrer dans un face à face pédagogique avec les populations pour véritablement continuer à susciter à leur niveau ce comportement et le réflexe de riposte permanent ».
« Il faut se rendre à l’évidence », a répondu le ministre. Qui de souligner : « L’opinion a déjà commencé à parler de 3e vague. Donc, il faut l’accepter et gérer en tant que tel », a-t-il soutenu.
Mais aussi, a-t-il ajouté : « Faire en sorte que les Sénégalais et les Sénégalaises soit conscients que la riposte que nous sommes en train de mener depuis un an et 4 mois et plus va encore durer et qu’il faut avoir la philosophie de l’endurance, continuer à se battre et se dire que le virus, c’est un virus qui va habiter avec nous ».
Par conséquent, a conclu le ministre, « il faut une mobilisation communautaire et s’inscrire dans une permanence de la riposte ».
« Parce que c’est la première fois depuis le début de la pandémie, que le pays a atteint la barre des 356 cas et aujourd’hui (jeudi) 354 cas. Ce qui veut dire de manière globale, malgré les espoirs qu’on a eu ces derniers temps, on avait une courbe décroissante en un moment et soudain la courbe se redresse et de manière assez raide », s'est-il désolé.
Avant de souligner: « cela n’est pas propre au Sénégal. C’est quand même une tendance globale. Mais, il faut se rendre à l’évidence pour dire que c’est un tout petit peu le comportement de ce virus qui fait qu’il faut véritablement s’inscrire dans la permanence de la riposte ».
« Il est important d’entrée dans un face à face pédagogique avec les populations »
Quelle riposte face à cette hausse ? Le ministre et son équipe ne comptent pas se laisser faire. A en croire Abdoulaye Diouf Sarr « face à une telle situation, nous avons estimé qu’il était extrêmement important d’entrer dans un face à face pédagogique avec les populations pour véritablement continuer à susciter à leur niveau ce comportement et le réflexe de riposte permanent ».
Peut-on parler d’une 3e vague ?
« Il faut se rendre à l’évidence », a répondu le ministre. Qui de souligner : « L’opinion a déjà commencé à parler de 3e vague. Donc, il faut l’accepter et gérer en tant que tel », a-t-il soutenu.
Mais aussi, a-t-il ajouté : « Faire en sorte que les Sénégalais et les Sénégalaises soit conscients que la riposte que nous sommes en train de mener depuis un an et 4 mois et plus va encore durer et qu’il faut avoir la philosophie de l’endurance, continuer à se battre et se dire que le virus, c’est un virus qui va habiter avec nous ».
Par conséquent, a conclu le ministre, « il faut une mobilisation communautaire et s’inscrire dans une permanence de la riposte ».
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