Les nouveaux bacheliers de l’Institut Supérieur d'Enseignement Professionnel (ISEP) de Diamniadio ont crié leur ras-le-bol ce lundi 29 juin 2020. Face à la presse ce matin devant de la Faculté des Lettres de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), ils ont exigé le démarrage des cours.
« Nous avons reçu nos orientations depuis le 17 novembre jusque-là, nous n’avons pas fait cours. Et actuellement, ils veulent nous imposer des cours en ligne au détriment de nos camarades dont la majorité habite loin de Dakar. Ces derniers dont certains n’ont pas accès à l’internet, faute de moyens, de manque de réseau, ou de matériels nécessaires », a déclaré le porte-parole Thierno Amidou Baldé.
Pis, a-t-il fulminé : « Nous avions appelé le responsable technique de notre institution pour nous mettre en contact avec le directeur des études, mais il avait refusé tout simplement. Car il disait que notre initiative n’est pas reconnue. Si nous n’avons pas accès à notre direction, je ne pense pas que nous pourrons rencontrer le ministre de tutelle. Alors pour nous faire entendre nous avons opté pour un premier pas, de tenir ce point de presse pour interpeller le ministre de l’Enseignement Supérieur à revenir sur sa décision ».
Ces étudiants ne comptent pas baisser les bras pour satisfaire leurs doléances. Ils n’excluent pas de passer à une étape supérieure, si jamais cette première sortie laisse indifférent les autorités.
« Nous avons reçu nos orientations depuis le 17 novembre jusque-là, nous n’avons pas fait cours. Et actuellement, ils veulent nous imposer des cours en ligne au détriment de nos camarades dont la majorité habite loin de Dakar. Ces derniers dont certains n’ont pas accès à l’internet, faute de moyens, de manque de réseau, ou de matériels nécessaires », a déclaré le porte-parole Thierno Amidou Baldé.
Pis, a-t-il fulminé : « Nous avions appelé le responsable technique de notre institution pour nous mettre en contact avec le directeur des études, mais il avait refusé tout simplement. Car il disait que notre initiative n’est pas reconnue. Si nous n’avons pas accès à notre direction, je ne pense pas que nous pourrons rencontrer le ministre de tutelle. Alors pour nous faire entendre nous avons opté pour un premier pas, de tenir ce point de presse pour interpeller le ministre de l’Enseignement Supérieur à revenir sur sa décision ».
Ces étudiants ne comptent pas baisser les bras pour satisfaire leurs doléances. Ils n’excluent pas de passer à une étape supérieure, si jamais cette première sortie laisse indifférent les autorités.
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