La place Itzhak Rabin a accueilli dans le passé des rassemblements beaucoup plus massifs. Mais compte tenu du poids actuel de la gauche israélienne, Nir Stanescu se dit satisfait. «C'est devenu une insulte de dire à quelqu'un qu'il est de gauche. Donc, ça fait chaud au cœur de voir tous ces gens», explique-t-il.
L'événement est un réconfort pour des manifestants qui portent souvent un regard très sombre sur l'état actuel d'Israël. « Je suis très pessimiste sur le futur de ce pays. Mes parents l'ont construit et je vois qu'il va... en enfer », déplore une femme ayant du mal à retenir ses larmes.
Un peu plus loin, une mère de famille garde encore un peu d'espoir. Un espoir qu'elle veut passer à ses trois enfants venus avec elle. « Dans notre foyer, on essaye de leur dire que nous sommes tous égaux. Et que le chemin qu'on doit suivre, si on veut être libres nous-mêmes, c'est de libérer d'autres personnes », affirme-t-elle.
Les discours politiques se succèdent sur scène. A plusieurs reprises, la foule reprend le slogan « Bibi à la maison». Mais elle écoute attentivement un message de Mahmoud Abbas. «Il n'y a pas de voix plus forte que celle d'une paix juste et inclusive », dit la lettre du président de l'Autorité palestinienne.
Au milieu de la foule, une femme lui répond : « J'espère que les Palestiniens peuvent entendre que nous voulons aussi la paix.»
RFI
L'événement est un réconfort pour des manifestants qui portent souvent un regard très sombre sur l'état actuel d'Israël. « Je suis très pessimiste sur le futur de ce pays. Mes parents l'ont construit et je vois qu'il va... en enfer », déplore une femme ayant du mal à retenir ses larmes.
Un peu plus loin, une mère de famille garde encore un peu d'espoir. Un espoir qu'elle veut passer à ses trois enfants venus avec elle. « Dans notre foyer, on essaye de leur dire que nous sommes tous égaux. Et que le chemin qu'on doit suivre, si on veut être libres nous-mêmes, c'est de libérer d'autres personnes », affirme-t-elle.
Les discours politiques se succèdent sur scène. A plusieurs reprises, la foule reprend le slogan « Bibi à la maison». Mais elle écoute attentivement un message de Mahmoud Abbas. «Il n'y a pas de voix plus forte que celle d'une paix juste et inclusive », dit la lettre du président de l'Autorité palestinienne.
Au milieu de la foule, une femme lui répond : « J'espère que les Palestiniens peuvent entendre que nous voulons aussi la paix.»
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