D’après, monsieur Sarr des actes pareils ne doivent pas être impunis. Et que cette situation commence à être inquiétante. L’UGB depuis quelques années connait des violences qui se soldent par des pertes en vies humaines. « La position que j’ai décliné, c’est d’abord qu’il y ait des enquêtes sérieuses sur ce qui s’est passé » a fait entendre l’ancien étudiant de l’UGB.
Du reste, fait savoir Khalifa Ababacar Sarr, il faut que dans des cas pareils que des enquêtes sérieuses soient menées. Et monsieur Sarr de déplorer les enquêtes qui piétinent, depuis la mort de Fallou Sène jusqu'à celle récente de Prosper C. Senghor. "Il est judicieux de dire qu’il faut du sérieux dans le suivi des dossiers, depuis Fallou Sène. C’est bien heureux de voir que le 25 janvier passé. On a convoqué quelques témoins au niveau du huitième cabinet du tribunal de Dakar pour continuer à enquêter sur la mort à élucider de Fallou Sène. Aujourd’hui, nous demandons la même chose pour Alpha Tounkara et Prosper C Senghor".
En définitive, monsieur Sarr préconise le dialogue entre acteurs universitaires, politiques et sécuritaires. " Comme je l’ai dit tout à l’heure sur le plateau d’une télévision, il faut que les acteurs se parlent. A toutes conséquences, il y a des causes. C’est d’abord un manque de dialogue entre les acteurs que sont : les enseignants -chercheurs, les personnels administratifs et financiers (PATS), les étudiants et même les parents, a préconisé monsieur Sarr.
Du reste, fait savoir Khalifa Ababacar Sarr, il faut que dans des cas pareils que des enquêtes sérieuses soient menées. Et monsieur Sarr de déplorer les enquêtes qui piétinent, depuis la mort de Fallou Sène jusqu'à celle récente de Prosper C. Senghor. "Il est judicieux de dire qu’il faut du sérieux dans le suivi des dossiers, depuis Fallou Sène. C’est bien heureux de voir que le 25 janvier passé. On a convoqué quelques témoins au niveau du huitième cabinet du tribunal de Dakar pour continuer à enquêter sur la mort à élucider de Fallou Sène. Aujourd’hui, nous demandons la même chose pour Alpha Tounkara et Prosper C Senghor".
En définitive, monsieur Sarr préconise le dialogue entre acteurs universitaires, politiques et sécuritaires. " Comme je l’ai dit tout à l’heure sur le plateau d’une télévision, il faut que les acteurs se parlent. A toutes conséquences, il y a des causes. C’est d’abord un manque de dialogue entre les acteurs que sont : les enseignants -chercheurs, les personnels administratifs et financiers (PATS), les étudiants et même les parents, a préconisé monsieur Sarr.
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