Jean Pierre Bemba, opposant congolais. (photo): iledere.parti-socialiste.fr
L'ex-vice président de la République démocratique du Congo (RDC) est inculpé pour la campagne de meurtres, de viols et de pillages menée en 2002 et 2003 en République centrafricaine par sa milice, le Mouvement de libération du Congo (MLC).
Estimant que Jean-Pierre Bemba "devrait rester en prison", le procureur Luis Moreno-Ocampo a déclaré qu'il ferait appel de la décision.
Jean-Pierre Bemba ne sera pas effectivement libéré avant septembre, la CPI devant d'ici là déterminer les conditions de sa liberté provisoire, notamment le pays qui acceptera de l'accueillir.
Sollicitée par la CPI, la France a d'ores et déjà fait savoir qu'elle n'accueillerait pas le chef du MLC.
"Un dialogue a été engagé avec la Cour pénale internationale et nous avons, pour notre part, fait valoir auprès de celle-ci que la France n'était pas en mesure d'accueillir Jean-Pierre Bemba", a indiqué vendredi un porte-parole du Quai d'Orsay.
Dans leur décision, les juges de la CPI font valoir que le droit de Jean-Pierre Bemba à la liberté dépasse le risque de le voir fuir, faire obstruction à la justice ou commettre des crimes de guerre.
L'opposant congolais avait été arrêté en mai 2008 en Belgique et transféré à la CPI à La Haye (Pays-Bas) en juillet. Aucune date n'a encore été fixée pour son procès.
Source: AP
Estimant que Jean-Pierre Bemba "devrait rester en prison", le procureur Luis Moreno-Ocampo a déclaré qu'il ferait appel de la décision.
Jean-Pierre Bemba ne sera pas effectivement libéré avant septembre, la CPI devant d'ici là déterminer les conditions de sa liberté provisoire, notamment le pays qui acceptera de l'accueillir.
Sollicitée par la CPI, la France a d'ores et déjà fait savoir qu'elle n'accueillerait pas le chef du MLC.
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Source: AP
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