L’opposition qui a mis en place le front du «Non», prévient qu’elle ne tolérera aucune forme de modification du Code électorale en réponse au ministre de l’Intérieur qui doit soumettre ce mercredi matin, le projet de loi portant modification du Code électoral. C’est ce qu’elle compte démontrer avec son rassemblement prévu devant les grilles de l’Assemblée nationale.
En effet, les coalitions Manko Taxawu Senegaal, Wattu Senegaal, entre autres nient l’existence d’un quelconque consensus obtenu par la Commission électorale nationale autonome (CENA) qui avait convié les plénipotentiaires des différents partis et coalitions de partis pour se pencher sur le casse-tête que la pléthore de listes (47) ne manquera pas de poser à l’électeur le jour des élections législatives.
C’était la raison invoquée Doudou Ndir et Cie, pour appeler les différentes formations à la concertation organisée le 30 juin dernier au sein du siège de la CENA.
Mais, l’impartialité de M. Ndir est maintenant remise en doute par le front du Non qui demande tout bonnement sa démission car, «la CENA dont la mission consiste à veiller au strict respect de la loi électorale, parraine la violation de cette même loi». Ce qu’il considère que le président de cet organe a fait.
En effet, les coalitions Manko Taxawu Senegaal, Wattu Senegaal, entre autres nient l’existence d’un quelconque consensus obtenu par la Commission électorale nationale autonome (CENA) qui avait convié les plénipotentiaires des différents partis et coalitions de partis pour se pencher sur le casse-tête que la pléthore de listes (47) ne manquera pas de poser à l’électeur le jour des élections législatives.
C’était la raison invoquée Doudou Ndir et Cie, pour appeler les différentes formations à la concertation organisée le 30 juin dernier au sein du siège de la CENA.
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