A l’occasion de la journée d’exposition et de dégustation de produits à base de maïs qui a été organisée par le Projet Croissance Economique (PCE) en partenariat avec la société TROPICASEM dans la Vallée du Fleuve Sénégal, la SAED, l’ISRA et l’Association des Producteurs de Maïs et Sorgho de la Vallée (APMSV) ce jeudi 12 mai 2011 dans les locaux de l’ITA, le Directeur dudit projet, Andrew Keck a indiqué qu’au Sénégal, «il s’agit de se focaliser sur quelques filières prioritaires dont notamment trois céréales (le riz, le maïs et le mil) et de travailler pour augmenter la productivité, pour améliorer la disponibilité et pour réduire éventuellement les courses».
Mais pour nous en tant que PCE, dit-il, «le vrai défi c’est de de voir le produit carrément commercialisé, qu’il entre dans le circuit du marché. Si aujourd’hui, il y a déjà une connaissance sur les variétés performantes dans des champs de tests, on veut maintenant relever le défi de s’assurer que ces variétés vont correspondre aux exigences du marché de l’industriel».
Le Directeur du PCE de confier: «maintenant notre défi c’est d’aller vers cette commercialisation et de pénétrer les marchés». Et d’ajouter: «un des efforts que nous comptons faire dans les mois à venir, c’est de s’assurer que les résultats de ce genre de travail sont bien disponibles pour tous les acteurs. On va le mettre sur une série de publications qui vont permettre de disséminer les différents résultats de recherches et d’études menés depuis ces deux dernières années».
Mais pour nous en tant que PCE, dit-il, «le vrai défi c’est de de voir le produit carrément commercialisé, qu’il entre dans le circuit du marché. Si aujourd’hui, il y a déjà une connaissance sur les variétés performantes dans des champs de tests, on veut maintenant relever le défi de s’assurer que ces variétés vont correspondre aux exigences du marché de l’industriel».
Le Directeur du PCE de confier: «maintenant notre défi c’est d’aller vers cette commercialisation et de pénétrer les marchés». Et d’ajouter: «un des efforts que nous comptons faire dans les mois à venir, c’est de s’assurer que les résultats de ce genre de travail sont bien disponibles pour tous les acteurs. On va le mettre sur une série de publications qui vont permettre de disséminer les différents résultats de recherches et d’études menés depuis ces deux dernières années».
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