Dans le cadre de la mise en œuvre du Décret sur les ressources financières de l'Agence nationale des Affaires maritimes (ANAM), un protocole d'accord a été signé, entre l’agence et le GIE GAINDE 2000 en présence de leurs responsables respectifs, Yérim THIOUBE et Ibrahima Nour Eddine DIAGNE.
Le but de cet accord entre les deux structures est d’assouplir la procédure de recouvrement de ses redevances qui fait, actuellement, l’objet d’un traitement manuel. Ainsi, le GIE GAINDE 2000 et l’ANAM entendent développer, ensemble, un Logiciel de facturation des redevances sur le droit de trafic maritime, mettre en place un système efficace de bases de données, former les agents de l’ANAM à l’utilisation du logiciel et assurer la maintenance du logiciel.
Ledit Logiciel de facturation reposera, d’une part, sur la rationalisation de la chaine de facturation et de recouvrement des redevances sur le droit de trafic et, d’autre part, sur les actifs de la dématérialisation, pour favoriser une mise en œuvre rapide, à coût réduit et une exploitation des effets de mutualisation.
Pour rappel, le Transport maritime est régi par des normes internationales et communautaires, ratifiées, pour la plupart, par le Sénégal, et qui lui imposent des obligations en matière d’installations, d’infrastructures de réception, de sécurité maritime et de protection de l’environnement marin.
Ces normes déterminent les services que les Etats doivent mettre en place sur la base de moyens techniques adéquats et de moyens financiers conséquents. Toutefois, pour des pays à faible économie comme le Sénégal, le financement de tels services ne peut relever du seul budget étatique. Des ressources additionnelles sont nécessaires pour parvenir à résorber les gaps et permettre ainsi à l’Etat de respecter les engagements souscrits sur le plan international ou communautaire.
Le but de cet accord entre les deux structures est d’assouplir la procédure de recouvrement de ses redevances qui fait, actuellement, l’objet d’un traitement manuel. Ainsi, le GIE GAINDE 2000 et l’ANAM entendent développer, ensemble, un Logiciel de facturation des redevances sur le droit de trafic maritime, mettre en place un système efficace de bases de données, former les agents de l’ANAM à l’utilisation du logiciel et assurer la maintenance du logiciel.
Ledit Logiciel de facturation reposera, d’une part, sur la rationalisation de la chaine de facturation et de recouvrement des redevances sur le droit de trafic et, d’autre part, sur les actifs de la dématérialisation, pour favoriser une mise en œuvre rapide, à coût réduit et une exploitation des effets de mutualisation.
Pour rappel, le Transport maritime est régi par des normes internationales et communautaires, ratifiées, pour la plupart, par le Sénégal, et qui lui imposent des obligations en matière d’installations, d’infrastructures de réception, de sécurité maritime et de protection de l’environnement marin.
Ces normes déterminent les services que les Etats doivent mettre en place sur la base de moyens techniques adéquats et de moyens financiers conséquents. Toutefois, pour des pays à faible économie comme le Sénégal, le financement de tels services ne peut relever du seul budget étatique. Des ressources additionnelles sont nécessaires pour parvenir à résorber les gaps et permettre ainsi à l’Etat de respecter les engagements souscrits sur le plan international ou communautaire.
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