« Trop, c’est trop », estime ce collectif pour qui, après deux ans, « il est temps d’agir » pour que le président Lamine Diack soit « libre de ses mouvements ». L’ancien patron de l’IAAF est mis en examen pour corruption et blanchiment aggravé, depuis novembre 2015. ll lui est également reproché d'avoir fermé les yeux sur des cas de dopage. Il est en résidence surveillée et sous contrôle judiciaire. Le collectif a lancé une pétition pour sa libération.
Membre du collectif, Mamadou Koumé sonne ainsi la mobilisation : « Le président Lamine Diack est en France où il est libre de ses mouvements mais on lui a pris son passeport. Ce qui veut dire qu’il ne peut pas voyager, il ne peut pas venir au Sénégal. Nous estimons que Monsieur Diack réuni toutes les garanties pour pouvoir aller et venir. Donc, on devrait en principe, le laisser libre de ses mouvements. Les Sénégalais peuvent encourager l’Etat, peuvent être derrière les pouvoirs publics pour dire qu’il est vraiment temps d’agir ».
Le journaliste qui est allé le voir en France, décrit « quelqu’un qui a la foi pour ceux qui le connaissent. Mais, c’est difficile pour lui de ne pas pouvoir venir au Sénégal, de ne pas être régulièrement au contact de sa famille, de ses enfants, de ses mais, de tous ceux qu’il aime ».
Membre du collectif, Mamadou Koumé sonne ainsi la mobilisation : « Le président Lamine Diack est en France où il est libre de ses mouvements mais on lui a pris son passeport. Ce qui veut dire qu’il ne peut pas voyager, il ne peut pas venir au Sénégal. Nous estimons que Monsieur Diack réuni toutes les garanties pour pouvoir aller et venir. Donc, on devrait en principe, le laisser libre de ses mouvements. Les Sénégalais peuvent encourager l’Etat, peuvent être derrière les pouvoirs publics pour dire qu’il est vraiment temps d’agir ».
Le journaliste qui est allé le voir en France, décrit « quelqu’un qui a la foi pour ceux qui le connaissent. Mais, c’est difficile pour lui de ne pas pouvoir venir au Sénégal, de ne pas être régulièrement au contact de sa famille, de ses enfants, de ses mais, de tous ceux qu’il aime ».
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