Le journaliste écrivain Abdou Latif Coulibaly
Trois jours après la parution de son livre «Contes et mécomptes de l’ANOCI», le journaliste écrivain, Abdou Latif Coulibaly a fait ce samedi face à la presse pour présenter les grands axes de son ouvrage mais aussi lever certaines équivoques. A cet effet, le directeur du magazine la «Gazette» a révélé : «j’avais des pressentiments quand on a confié la gestion de l’ANOCI à Karim Wade au détriment de Cheikh Tidiane Gadio. J’ai trouvé cela anormal, j’ai senti qu’il y avait quelque chose qui se mijotait et j’ai senti la nécessité d’écrire ce livre». Abdou Latif Coulibaly a, ainsi, déclaré : «tout ce que j’ai écris, je ne l’ai pas inventé et ce sont des documents qui proviennent des commissaires au compte». Il a indiqué que «c’est pourquoi, j’ai fait ce travail qui m’a pris 6 mois à 1 an».
Son dernier ouvrage sur la société nationale la Lonase lui avait valu une plainte. Pour cette fois-ci, le directeur de l’Institut Supérieur des Sciences de l’Information et de la Communication (ISSIC), par ailleurs directeur de publication du magazine «La Gazette» dit ne pas craindre une plainte, ni de poursuites judiciaires contre sa personne. «Je suis libre d’écrire et les gens sont libres de porter plainte contre moi. Où est le problème ?», a martelé l’auteur du nouveau livre «Contes et mécomptes de l’ANOCI» édité par les éditions l’Harmattan et Sentinelles.
Le journaliste écrivain a souligné qu’il ne veut pas qu’on appelle ce livre un brûlot, mais plutôt un document d’enquête.
Cette conférence de presse a été une occasion pour le directeur de publication du magazine «La Gazette» d’évacuer une rumeur sur son «obsession pour la famille Wade». Abdou Latif Coulibaly se veut très clair. Il a affirmé que «ma seule obsession c’est le Sénégal, je m’en fiche que les gens pensent que je suis obsédé par la famille Wade».
Le directeur de l’ISSIC a tenu à indiquer : «quiconque qui veut faire sombrer le Sénégal me trouvera sur mon chemin avec mes maigres moyens».
Son dernier ouvrage sur la société nationale la Lonase lui avait valu une plainte. Pour cette fois-ci, le directeur de l’Institut Supérieur des Sciences de l’Information et de la Communication (ISSIC), par ailleurs directeur de publication du magazine «La Gazette» dit ne pas craindre une plainte, ni de poursuites judiciaires contre sa personne. «Je suis libre d’écrire et les gens sont libres de porter plainte contre moi. Où est le problème ?», a martelé l’auteur du nouveau livre «Contes et mécomptes de l’ANOCI» édité par les éditions l’Harmattan et Sentinelles.
Le journaliste écrivain a souligné qu’il ne veut pas qu’on appelle ce livre un brûlot, mais plutôt un document d’enquête.
Cette conférence de presse a été une occasion pour le directeur de publication du magazine «La Gazette» d’évacuer une rumeur sur son «obsession pour la famille Wade». Abdou Latif Coulibaly se veut très clair. Il a affirmé que «ma seule obsession c’est le Sénégal, je m’en fiche que les gens pensent que je suis obsédé par la famille Wade».
Le directeur de l’ISSIC a tenu à indiquer : «quiconque qui veut faire sombrer le Sénégal me trouvera sur mon chemin avec mes maigres moyens».
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