« Le Bureau Politique du Rassemblement pour le Socialisme et la Démocratie / Takku Defaraat Senegal (RSD / TDS) est au regret de constater que le régime libéral poursuit sa logique de destruction de la filière arachidière depuis son arrivée au pouvoir en 2000 ».
Dans leur communiqué, les camarades de Robert Sagna expliquent « depuis la Révolution Industrielle du XIXe siècle, chaque pays s’est distingué dans la maîtrise d’au moins un produit de base cultivé. On peut citer, à titre d’exemples, les USA avec leur maïs, la France et sa vigne, la Chine et son coton, le Brésil et son café, la Côte d’Ivoire et son cacao, l’Egypte, le Mali, le Burkina Faso et leur coton et bien évidemment le Sénégal et son arachide ».
Alors qu’aujourd’hui, le constat est que « tous ces pays cités, sauf le Sénégal, continuent de se distinguer dans ces filières agricoles respectives pour marquer leur présence dans le concert de l’économie internationale. Pendant ce temps, le Sénégal recule et disparaît de la liste des pays grands producteurs agricoles. Depuis 2000 en effet, le paysan sénégalais ne parvient plus à disposer de semences de qualité, encore moins en quantités suffisantes ; les points de collecte ont disparu au profit des marchés hebdomadaires ou loumas, lieux par excellence de bradage des récoltes ; le prix du kilogramme d’arachide ne mérite même pas d’être connu : encore 165 francs cette année, décision annoncée à quelques jours seulement de la fête de Tabaski ! ».
Dans leur communiqué, les camarades de Robert Sagna expliquent « depuis la Révolution Industrielle du XIXe siècle, chaque pays s’est distingué dans la maîtrise d’au moins un produit de base cultivé. On peut citer, à titre d’exemples, les USA avec leur maïs, la France et sa vigne, la Chine et son coton, le Brésil et son café, la Côte d’Ivoire et son cacao, l’Egypte, le Mali, le Burkina Faso et leur coton et bien évidemment le Sénégal et son arachide ».
Alors qu’aujourd’hui, le constat est que « tous ces pays cités, sauf le Sénégal, continuent de se distinguer dans ces filières agricoles respectives pour marquer leur présence dans le concert de l’économie internationale. Pendant ce temps, le Sénégal recule et disparaît de la liste des pays grands producteurs agricoles. Depuis 2000 en effet, le paysan sénégalais ne parvient plus à disposer de semences de qualité, encore moins en quantités suffisantes ; les points de collecte ont disparu au profit des marchés hebdomadaires ou loumas, lieux par excellence de bradage des récoltes ; le prix du kilogramme d’arachide ne mérite même pas d’être connu : encore 165 francs cette année, décision annoncée à quelques jours seulement de la fête de Tabaski ! ».
Autres articles
-
Suspension des vols vers New York et l'Europe : Air Sénégal face à un déficit financier de 150 millions de dollars
-
Les dépenses de l'État augmentent de 29,8 milliards de FCFA au deuxième trimestre, comparé à la même période en 2023
-
Pétrole et gaz : le Sénégal projette une croissance économique de 9,7% en 2025
-
Déficit budgétaire et hausse de la dette en 2023, le Sénégal compte sur les hydrocarbures pour 2024
-
Sénégal : le FMI abaisse ses prévisions de croissance à 6 % pour 2024