Ce procès ouvert le 20 juillet 2015 devant les CAE, le tribunal créé au sein des juridictions sénégalaises pour le jugement de l’ancien chef d’Etat, a connu beaucoup de rebondissements. Jugé pour crimes contre l’humanité, crimes de guerre et actes de torture, M. Habré comparaît de force devant les CAE, en refusant de répondre aux questions des juges et en commettant quelquefois des incidents d’audience, a appris l’Agence de presse sénégalaise auprès du service de communication des CAE.
La Cour a auditionné des experts, des témoins et une personne citée à témoin par les avocats de la défense. Selon un communiqué du service de communication des CAE, les avocats des parties civiles feront leurs plaidoiries lundi et mardi. Ce sera au tour du parquet général d’intervenir mercredi.
Les avocats de la défense feront leurs plaidoiries jeudi et vendredi.
Le verdict du procès est attendu à la fin du mois de mai, selon le communiqué des CAE. Hissein Habré a dirigé le Tchad de 1982 à 1990. Chassé du pouvoir par une rébellion dirigée par l’actuel président tchadien, Idriss Déby Itno, il s’est réfugié au Sénégal.
Après une bataille judiciaire menée durant plusieurs années par des plaignants et leurs avocats, l’ancien chef d’Etat est arrêté le 30 juin 2013 à Dakar.
Il est ensuite inculpé le 2 juillet 2013 par les CAE, une juridiction créée au Sénégal sous l’égide de l’Union africaine (UA) pour la tenue de son procès.
La Cour a auditionné des experts, des témoins et une personne citée à témoin par les avocats de la défense. Selon un communiqué du service de communication des CAE, les avocats des parties civiles feront leurs plaidoiries lundi et mardi. Ce sera au tour du parquet général d’intervenir mercredi.
Les avocats de la défense feront leurs plaidoiries jeudi et vendredi.
Le verdict du procès est attendu à la fin du mois de mai, selon le communiqué des CAE. Hissein Habré a dirigé le Tchad de 1982 à 1990. Chassé du pouvoir par une rébellion dirigée par l’actuel président tchadien, Idriss Déby Itno, il s’est réfugié au Sénégal.
Après une bataille judiciaire menée durant plusieurs années par des plaignants et leurs avocats, l’ancien chef d’Etat est arrêté le 30 juin 2013 à Dakar.
Il est ensuite inculpé le 2 juillet 2013 par les CAE, une juridiction créée au Sénégal sous l’égide de l’Union africaine (UA) pour la tenue de son procès.
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